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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Calendrier liturgique du mois d'août

31 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #calendrier

Calendrier liturgique du mois d'août

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Dimanche 31 juillet : Messe à 18h00 !

27 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 18h00 le dimanche 31 juillet :

8ème dimanche après la Pentecôte (Vert - 2ème classe)

Attention à l'heure de Messe. Exceptionnellement à 18h00 !

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L’église Notre-Dame de Grâces à Cotignac

25 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Le célèbre sanctuaire, sis à Cotignac dans le Var (83570), est riche en grâces, mais aussi par son histoire. Sa naissance est liée à une double apparition de la Vierge Marie à un bûcheron de la région.

Le contexte historique

En 1517, Martin Luther avait affiché ses 95 thèses sur la porte de l’église de Wittenberg, ce qui signait le début de sa révolte. En 1509, il était passé tout près de Cotignac en se rendant à Rome. En mars 1519, il assurait encore le Pape Léon X de sa fidélité. Mais trois ans plus tard l’Allemagne était à feu et à sang, et bientôt, une bonne partie de l’Europe également.

Par ailleurs, en cette année règne François Ier et la Renaissance se développe, « en laquelle on a pu voir la première grande manifestation historique moderne d’un athéisme qui, par le détour et le retour au naturalisme païen, devait déboucher sur les systèmes matérialistes qui couvrent le monde moderne et risquent de le submerger » 

Les apparitions de la Vierge Marie

Le 10 août 1519, en la fête de saint Laurent martyr, un bûcheron, Jean de la Baume 2, gravit le mont Verdaille qui surplombe Cotignac. Il a 22 ans. Il commence sa journée par prier. Soudain une nuée lui apparaît, entourant la Vierge Marie et l’Enfant Jésus dans ses bras, accompagnés de saint Michel Archange et de saint Bernard. Notre Dame est debout.

Elle s’adresse alors à Jean à peu près en ces termes : « Je suis la Vierge Marie. Allez dire au clergé et aux consuls de Cotignac de me bâtir ici-même une église, sous le vocable de Notre-Dame de Grâces et qu’on vienne en procession pour recevoir les dons que je veux y répandre. »

Puis, la vision disparaît. Jean garde pour lui le message. Le lendemain, 11 août, il revient au même endroit pour achever sa coupe. L’apparition se reproduit et il reçoit de nouveau le même message. Jean se précipite alors au village pour annoncer ce qu’il a vu et entendu.

Son témoignage est bien reçu, à tel point que le 14 septembre suivant, Fête de la Sainte Croix, les archives municipales rapportent la pose de la première pierre après une grande procession de la communauté entière, clergé et syndics en tête.

L’approbation ecclésiastique n’a pas tardée puisque le 17 mars 1521 le Pape Léon X par une « bulle » pontificale accordait une série de privilèges au sanctuaire de Notre-Dame de Grâces.

Lien avec la monarchie française

En 1637, la Vierge Marie apparaît quatre fois au cours de la même nuit au frère Fiacre, au couvent Notre-Dame des Victoires de Paris, et demande que la reine prie « Notre-Dame de Grâces » à Cotignac, pour donner enfin un descendant au roi Louis XIII. Ce sera la naissance du futur Louis XIV neuf mois plus tard.

A la suite de ce miracle, le roi Louis XIII décide de consacrer le royaume de France à la Vierge, ce qui va amener une notoriété nationale à cette modeste localité. La visite personnelle du roi Louis XIV en 1660, accompagné de sa mère, et les marques de reconnaissance du roi au sanctuaire ancreront un lien fort entre la monarchie et le sanctuaire de Notre-Dame de Grâces.

L’actuelle église date de 1810, l’église primitive ayant été pillée et rasée par les révolutionnaires. La nouvelle église a été reconstruite sur le même plan que l’église primitive, et a reçu la statue de la Vierge, qui avait pu être préservée de la rage destructrice, ainsi que le tableau de la Vierge représentant l’apparition et datant du XVIe siècle.

La Sainte Vierge a tenu sa promesse et continue de répandre ses grâces sur les pèlerins de Cotignac.

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Procession du lundi 15 août en l'honneur de Marie

24 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces, #calendrier

Procession du lundi 15 août en l'honneur de Marie

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Dimanche 24 juillet : Messe à 18h00 !

20 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 18h00 le dimanche 24 juillet :

7ème dimanche après la Pentecôte (Vert - 2ème classe)

Attention à l'heure de Messe. Exceptionnellement à 18h00 !

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La relique du Précieux-Sang volée à Fécamp a été restituée

17 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

La relique du Précieux-Sang volée à Fécamp a été restituée

Le reliquaire renfermant deux ampoules de plomb, contenant elles-mêmes quelques gouttes du Précieux-Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ, a été restitué un mois et demi après le vol sacrilège commis dans l’abbatiale de Fécamp dans la nuit du 1er au 2 juin de cette année. Cette restitution rapide n’est malgré tout pas banale, même si la lumière reste à faire sur bien des points.

La restitution a été faite par l’intermédiaire d’un détective d’art néerlandais, qui n’est pas un inconnu : il s’agit d’Arthur Brand, un Néerlandais de 52 ans, surnommé « l’Indiana Jones du monde de l’art », titre qui ne semble pas immérité.

Il est notamment connu pour avoir retrouvé un tableau de Picasso, une bague d’Oscar Wilde ainsi que les fameux bronzes grandeur nature Les chevaux d’Hitler. Ces deux chevaux grandeur nature qui se trouvaient devant l’entrée de la Chancellerie à Berlin, œuvre de Josef Thorak, l’un des deux sculpteurs officiels du Troisième Reich. Arthur Brand a tiré un livre de cette enquête.

Des voleurs superstitieux … ou repentants ?Le détective a rapporté que les voleurs lui auraient confié avoir pris peur de la malédiction qu’ils s’attireraient en abritant le sang volé du Christ. Mais la réalité pourrait être beaucoup plus prosaïque.

Le rôle du détective commence en fait quelques jours après le vol, lorsqu’il reçoit un courriel d’un expéditeur anonyme affirmant avoir le butin volé en sa possession. « Cette personne m’a approchée au nom d’une autre, chez qui les reliques volées étaient entreposées », raconte Arthur Brand. Mais, poursuit-il « avoir la relique ultime, le sang de Jésus dans sa maison, volée, c’est une malédiction ».

Et, détail qui semble déterminant, quand les voleurs ont réalisé ce qu’ils avaient dérobé, des reliques « invendables », ils ont compris qu’ils devaient s’en débarrasser, ajoute-t-il. Le courriel, rédigé en néerlandais, demandait au détective de reprendre les objets volés car il était trop risqué de les restituer à l’abbatiale elle-même.

Une restitution discrète

L’expéditeur anonyme prévient alors Arthur Brand que le butin sera déposé à son domicile, sans préciser la date. Le détective pense que les voleurs ont voulu passer par lui pour rendre les objets car « il aurait été trop dangereux d’impliquer la police ».

Dans la nuit du 1er juillet, un carton était déposé devant la porte du détective, averti par un coup de sonnette. La boîte contenait le reliquaire ainsi que d’autres objets volés en même temps : des plaques liturgiques en cuivre, des représentations de saints et un gobelet orné.

Le plus important est que la relique retrouve sa place dans la sacristie de l’abbatiale de Fécamp, pour au moins encore 1000 ans. L’enquête française n’a pas pour autant été close et des zones d’ombre demeurent, notamment sur le parcours du trésor depuis son vol.

Le reliquaire sera remis à la police française après vérifications par la police néerlandaise dans le but de nourrir l’enquête qui se poursuit sur le sol des deux pays.

Comme l’a enfin confié le détective à l’AFP, mettre la main sur la relique du Précieux-Sang du Christ a été pour lui un sentiment particulièrement extraordinaire. Le vol de cette « pièce légendaire » a été « un énorme choc », raconte Arthur Brand : « en tant que catholique, c’est être à peu près aussi proche de Jésus et de la légende du Saint Graal que c’est possible ».

Il faut remarquer que cette dernière affirmation oublie que la sainte communion nous rapproche de Jésus-Christ bien plus que le contact de n’importe quelle relique, aussi vénérable soit-elle.

Le reliquaire ne devrait toutefois pas revenir à Fécamp avant le mois de septembre selon Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre, d’autant que la mise en place d’un système d’alarme devra être sérieusement étudié.

(Sources : Le Figaro/cath.ch – FSSPX.Actualités)
Illustration : © cyrano.net

 

 

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Dimanche 17 juillet : Messe à 10h00

13 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 17 juillet :

6ème dimanche après la Pentecôte (Vert - 2ème classe)

Action de grâces après la messe.

 

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Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022

10 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles, #calendrier, #annonces

Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de juillet & août 2022

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Dimanche 10 juillet : Messe à 10h00

7 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 10 juillet :

5ème dimanche après la Pentecôte (Vert - 2ème classe)

 

 

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Annonces paroissiales du mois de juillet

3 Juillet 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces

Annonces paroissiales du mois de juillet

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