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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Jubilé d’or et translation de la dépouille mortelle de Mgr Lefebvre

27 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Le 24 septembre 2020, le Séminaire Saint-Pie X, fondé en 1970 à Ecône par Mgr Marcel Lefebvre, fêtait ses 50 années d’existence.

 

Une messe pontificale d’action de grâces a été célébrée par Mgr Bernard Fellay à l’occasion de ce jubilé d’or. Un clergé nombreux se pressait dans le transept, malgré les restrictions de déplacement imposées par l’épidémie. Le séminaire de Zaitzkofen a pu venir tout entier pour assister au jubilé.

Entre mille et mille cinq cents fidèles, venus de Suisse, d’Allemagne, de France, d’Italie et de quelques autres pays européens, se massaient dans l’église et sur le parking où un écran géant retransmettait les cérémonies.

Après la messe, le clergé s’est rendu au caveau où reposait jusqu’à ce jour le fondateur de la Fraternité Saint-Pie X. Le cercueil a été solennellement transporté dans la crypte de l’église d’Ecône, dédiée au Cœur Immaculé de Marie. Une tombe a été préparée au fond de la crypte, face à l’autel. Après l’absoute, le cercueil a été déposé dans cette nouvelle tombe.

Après le repas, la journée s’est conclue par quelques témoignages de prêtres, présents à l’ouverture du séminaire, et par une projection retraçant ces 50 années du « séminaire de l’espoir ».

(Sources : MG - FSSPX.Actualités - Photos : Jean Lorber)

 

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Dimanche 27 septembre : Messe à 10 h 00

22 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 27 septembre 2020

17 ème dimanche après la Pentecôte (blanc, 2ème Classe)

Solennité de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus.

Après la Messe, Conférence sur le vie spirituelle de 11h30 à 12h00.

 

 

 

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Un évêque américain marqué par la célébration de la messe traditionnelle

20 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Mgr Joseph Strickland est évêque du diocèse de Tyler, situé au Texas, depuis 2012. Il est considéré comme « conservateur ». Ordonné prêtre en 1985, il a célébré la messe tridentine pour la première fois lors de la Fête-Dieu – 11 juin 2020. Il en est resté bouleversé.

 

Dans un entretien du 16 juillet 2020 au National Catholic Register, Mgr Strickland a raconté comment et pourquoi il a été amené à célébrer le rite traditionnel.

Né en 1958, il n’a pas connu l’ancien rite dans son enfance. Du moins, il n’a pas de souvenir clair à ce sujet. Entré au séminaire en 1977, il n’a connu que le Novus Ordo durant sa formation et ses premières années de sacerdoce. « Ce n’est qu’avec le Summorum Pontificum du pape Benoît XVI que j’ai vraiment commencé à avoir le désir de connaître le latin et la liturgie traditionnelle. »

Les raisons de son intérêt pour le rite traditionnel

Mgr Strickland a été intrigué par l’attachement au rite tridentin de prêtres, de séminaristes, de jeunes familles. Son prédécesseur avait accepté les prescriptions du motu proprio de Benoît XVI. Il ajoute : « Je me suis rendu compte de plus en plus que la messe en latin et l’attrait qu’elle exerce sur les gens, n’était pas quelque chose de négatif et désuet qui devait rester enterré. »

Il s’enquiert alors, à travers divers livres, de cette liturgie dont il ignore tout. Et il avoue que ces lectures, associées à un culte envers la sainte Eucharistie qui l’attire de plus en plus, ont été déterminantes. « Prier devant le Christ dans le Saint-Sacrement m’a attiré vers ce rite. (…) J’ai constaté combien ce rite est centré sur Lui. »

Cette attirance le pousse à faire de l’année 2020 une « Année de l’Eucharistie » pour son diocèse. Il promeut spécialement les processions pour le jour de la Fête-Dieu. Lui-même « voulait faire quelque chose pour honorer Jésus-Christ. Je pensais sans cesse à essayer d’apprendre la messe traditionnelle en latin pour la fête traditionnelle du Corpus Christi. »

Il apprend alors de l’un de ses prêtres la célébration selon le rite tridentin. Il avoue sa difficulté avec le latin, mais il affirme : « Au début, cela demande de la concentration et des efforts, mais il y a tant de grâces en jeu. Cela vaut vraiment la peine d’apprendre. » Et d’ajouter : « Cette liturgie est entièrement consacrée à Lui, à l’adoration de Dieu. Il s’agit du Fils de Dieu descendant du ciel. »

Mgr Strickland poursuit : « Je dois dire que je pouvais à peine prononcer les mots de la consécration. J’ai été tellement ému et si profondément frappé par ces mots. Dieu merci, nous devons seulement les murmurer dans ce rite, parce que je ne suis pas sûr que j’aurais dépassé ce murmure, tellement j’ai été frappé par la profondeur. C’est indescriptible, vraiment indescriptible. »

Il conclut cet entretien sur ces mots : « Après ce que j’ai vécu, en tant qu’évêque, je ne peux m’empêcher d’encourager tout le monde à rencontrer Jésus dans l’émerveillement, dans la beauté de la forme extraordinaire de la Messe. »

Il faut cependant noter que l’évêque de Tyler encourage également ceux qui assistent à la messe traditionnelle à se rendre à la nouvelle messe « pour témoigner de la révérence à la liturgie et à Notre Seigneur dans l’Eucharistie ».

L’on espère qu’un contact plus fréquent avec la messe traditionnelle, et une information plus poussée, lui permettront de comprendre combien le rite nouveau s’éloigne de la véritable liturgie ; et combien sa nocivité interdit de l’absorber.

Son témoignage reste toutefois précieux pour montrer la force de la Tradition, incomparablement véhiculée dans la liturgie de la messe qui fut élaborée durant les premiers siècles de l’Eglise et codifiée par le pape saint Pie V.

(Sources : National Catholic Register/Wikipedia - FSSPX.Actualités)
Illustration : Peytonlow at English Wikipedia / CC BY-SA

 

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Dimanche 20 septembre : Messe à 10 h 00

16 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 20 septembre 2020

16 ème dimanche après la Pentecôte (vert, 2ème Classe)

Action de Grâces après la Messe.

Apéritif paroissial.

 

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La Nativité de la Sainte Vierge

14 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

De même que la première Eve, toute rayonnante de vie et d'innocence, sortit du côté d'Adam, ainsi Marie, resplendissante et immaculée, sortit du cœur du Verbe éternel, qui, par l'opération du Saint-Esprit, comme  l'enseigne la liturgie, voulut modeler lui-même ce corps et cette âme qui devaient lui servir un jour de tabernacle et d'autel. 

Voilà donc le sens sublime de la fête de la Nativité de la bienheureuse Vierge. Elle est l'aurore annonciatrice du jour qui déjà se lève derrière les collines éternelles. 

Les origines de cette fête doivent être recherchées en Orient, où on la trouve mentionnée dans les homélies d'André de Crète. A Rome, au contraire, encore au temps d'Honorius Ier (625-638), on célébrait en ce jour la dédicace de Saint-Adrien (Sant'Adriano al Foro), bâtie à l'emplacement de l'antique Curia Hostilia. De sorte que la fête de la Nativité de la Sainte Vierge ne semble pas remonter au-delà du pape Serge Ier (687-701). 

Quand le clergé et le peuple romain étaient réunis dans l'antique Curie sénatoriale, on chantait, avant que le cortège ne défilât, l'introït Exsurge, Domine, avec la doxologie empruntée à la fête du 2 février. 

A la fin, le pape récitait la collecte, puis, pieds nus, la procession se dirigeait vers le mont Esquilin, en passant par le forum de Nerva, le forum et les thermes de Trajan, les titres d'Eudoxie et de Sainte-Praxède. 

Quand le cortège approchait de la basilique Libérienne, on entonnait la litanie qui remplaçait, en ce jour, l'introït et le Kyrie qui le suit. 

Selon Cencius Camerarius on portait encore en ce jour, au XIIIe siècle, les dix-huit images de Marie, appartenant à autant d'églises diaconales. Le pape enlevait ses chaussures à Saint-Adrien, mais durant le parcours, il se servait de pantoufles qu'il laissait d'ailleurs à nouveau sur le seuil de Sainte-Marie-Majeure. 

A peine le cortège entrait-il dans la basilique, on entonnait le Te Deum et la schola lavait avec de l'eau chaude les pieds du Pontife qui se préparait ensuite à célébrer le Sacrifice solennel. 

Si Marie est devenue Mère du Verbe incarné, c'est pour nous pécheurs. Comment donc ne serait-elle pas aussi notre bonne mère ? 

(Source : cardinal Schuster, Liber Sacramentorum - FSSPX.Actualités - 08/09/18) 

 

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Dimanche 13 septembre : Messe à 10 h 00

9 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 13 septembre 2020

15 ème dimanche après la Pentecôte (vert, 2ème Classe)


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Spes nostra, salve

8 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

La vertu d’espérance nous fait aspirer aux vérités surnaturelles connues par la foi et elle nous donne aussi confiance en la réalisation des promesses divines. C’est la vertu qui nous fait désirer Dieu, avec une confiance sans limite.

Chaque fibre de l’être de Marie est assoiffée de Dieu et est donc rempli d’une confiance illimitée en Lui ; c’est pour cette raison que l’Église l’appelle “Mère de la sainte espérance” et même « notre unique espérance ».

Rappelons-nous ces instants où Marie seule a préservé l’espérance : C’était le samedi saint, lorsque le Christ était encore au tombeau, lorsque tout semblait fini et que même ses plus fidèles amis doutaient de Lui à cause de sa mort terrible. C’est lors de cette tragédie que Marie seul préserva cette confiance en Dieu, tout en ignorant comment cela finirait.

C’est l’espérance dans sa forme la plus pure, à savoir une confiance en Dieu sans aucune assurance humaine, fondée uniquement sur sa parole. La confiance de Marie était inconditionnelle. C’est pourquoi l’Église lui applique ce mot de la Sagesse éternelle : « in me omnis spes vitae et virtutis, en moi est toute l’Esperance de la vie et de la vertu » (Ecclésiastique 24, 15).

En fait, la certitude et la confiance que je resterai fidèle à Dieu jusqu’à la fin, ne sont pas le fruit de mon propre travail, mais d’une grâce non méritée qui me vient, comme toutes les grâces, par l’Immaculée. Ainsi, saint Bernard dit que Marie est « la cause parfaite et toute la raison d’être de mon espérance ». Cela signifie que les deux attitudes fondamentales de l’espérance ont leur fondement solide et leur plus haute expression en Marie.

– L’espérance, en tant qu’aspiration à Dieu, détourne l’être humain des faux “espoirs” des biens de ce monde pour le diriger vers les biens authentiques et éternels qui seuls peuvent étancher sa soif et satisfaire sa faim. En ce sens, l’espérance est la vertu de la conversion, qui signifie précisément « se détourner des biens de ce monde pour se tourner vers Dieu ».

Lorsque la foi nous montre la gloire du bonheur éternel, le désir de posséder ces biens augmente dans nos cœurs. Et plus cet attrait grandit, plus l’âme devient paisible, moins elle est attirée par les plaisirs du monde qui l’avaient autrefois plongée dans de si grand désordre. Saint Augustin dit : « Notre âme est inquiète, ô mon Dieu, jusqu’à ce qu’en vous elle se repose. » C’est comme l’aiguille d’une boussole qui s’agite jusqu’à ce qu’elle atteigne le pôle magnétique.

– Cette assurance consiste aussi en un abandon de soi aux promesses de Dieu. Si Marie est appelée “notre espérance”, alors sa présence est la garantie que ces promesses de bonheur éternel, se réaliseront, et plus encore, qu’elles ont déjà commencé à se réaliser à travers Elle. La Vierge Marie était, en effet, l’espérance de nos premiers parents, lorsqu’ils ont reçu la grande promesse de cette « Femme qui écraserait la tête du serpent ». Depuis cette promesse, l’Immaculée est l’espoir de la race humaine. Isaïe relie la promesse du Sauveur à venir, au miracle de la naissance de la Vierge.

Mais c’est surtout après l’Ascension du Christ, que Marie reste l’unique espérance des chrétiens. Dieu nous a donné Marie pour être notre Esperance. Après tout, c’est à Lui qu’il appartient de répondre à nos prières. Ainsi, quiconque fait appel à Marie, invoque en réalité sa créature la plus chère et touche l’endroit le plus tendre de son Cœur-Sacré, trouvant du même coup sa prière exaucée.

La tribulation nous apprend à prier, et dans les difficultés nous reconnaissons qui est vraiment notre ami loyal. À chaque époque, le peuple chrétien a connu de grandes tribulations, et ces épreuves ont, à chaque fois, fait renaître la confiance qu’ils avaient auparavant en Marie. Et parce que cette confiance en Marie n’a jamais été trahie, personne ne pourra la déraciner du cœur du peuple chrétien.

PROVENANCE: FSSPX.NEWS

 

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Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre

6 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles, #annonces

Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de septembre

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Dimanche 6 septembre : Messe à 10 h 00

4 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 6 septembre 2020

14ème dimanche après la Pentecôte (blanc, 2ème Classe)

Solennité de Saint Pie X

confessions entre 9h30 et 9h50.

Après la Messe : Salut du Très Saint Sacrement  (Intention : pour les familles et les écoles)

 

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Samedi 5 septembre : Premier samedi du mois

2 Septembre 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe, #annonces, #calendrier

Samedi 5 septembre : 1er samedi du mois :

10 h 45 : Confessions et temps d'oraison

11 h 15 : Sainte Messe (Saint Laurent Justinien)

11 h 55 : Chapelet.

 

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