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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Dimanche 4 août 2019 : Messe à 10h00

31 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre, le dimanche 4 août 2019.

8ème dimanche après la Pentecôte  (Vert, 2nde Classe)

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Pourquoi faut-il des prêtres ?

29 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Chaque année, au mois de juin, des prêtres sont ordonnés au service de l’Église pour « sacrifier, bénir, présider, prêcher, baptiser » (Pontifical romain). Loin de ne concerner qu’un petit nombre de fidèles et un cercle restreint de familles, les cérémonies d’ordination qui accompagnent la vie de l’Église impliquent tous les hommes, car le salut du monde dépend du sacerdoce. Configuré au Christ médiateur et pontife, le prêtre a la mission d’enseigner la vérité, de dispenser la grâce et de guider les âmes vers Dieu.

Prophète de la vérité

Ambassadeur de Dieu, ministre du Christ et de l’Église, le prêtre met à la disposition des hommes le trésor de la vérité. Il fait connaître la Parole de Dieu et les enseignements de la Tradition catholique.

Dans sa prédication, le prêtre expose les vérités hautes et profondes que la raison ne peut découvrir par elle-même. Il dévoile les mystères cachés révélés par le Christ et relate les évènements de l’histoire du salut, spécialement le mystère de la mort et de la résurrection du Sauveur. Surtout, il apporte des réponses claires aux multiples interrogations des hommes sur le sens de la vie, la raison du mal et le secret du bonheur.

Serviteur désintéressé de la vérité, le prêtre ne cherche pas à flatter. Comme le Seigneur son maître, il propose un idéal élevé et enthousiasmant, mais toujours exigeant. Il apporte un message de sainteté qui dérange les hommes épris des biens de ce monde. Sans cacher les austérités qu’implique l’Évangile, le prêtre montre que la grâce divine est une perle de grand prix dont la réception vaut bien quelque sacrifice.

Prophète vigilant qui démasque les mensonges, le prêtre réfute les doctrines fausses qui entraînent les âmes dans des impasses, voire des gouffres profonds. Face aux idéologies trompeuses, le prêtre alerte, avertit, met en garde. Refusant de cautionner les demi-vérités, injustices et scandales, il appelle à résister au mal, sous ses formes variées.

Dispensateur de la grâce

En vertu du caractère sacerdotal imprimé dans son âme depuis le jour de son ordination, le prêtre peut consacrer le corps et le sang du Seigneur à la messe, ainsi que donner certains sacrements.

L’acte essentiel du sacerdoce est la célébration de la sainte messe qui répand mystérieusement dans les cœurs les grâces surabondantes du sacrifice de la Croix. Agissant à l’autel en la personne du Christ, le prêtre renouvelle sous un mode non sanglant l’unique sacrifice du Calvaire. En union avec toute l’Église, il offre à Dieu un sacrifice d’adoration, d’action de grâce, de propitiation et d’impétration pour les vivants et pour les morts. Glorifiant la sainte Trinité, il apporte aux hommes la grâce divine qui élève et qui soigne. Toutes les bénédictions que donne le prêtre au fil de son ministère préparent et accompagnent l’œuvre de la grâce dans les cœurs.

En conférant le sacrement de baptême, le prêtre applique de manière individuelle aux âmes les grâces de la Rédemption. Lorsqu’il baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, le prêtre fait passer les âmes des ténèbres du péché à la lumière de la grâce. En même temps, il les introduit dans l’Église et les intègre à la communion des saints. En distribuant le Pain de vie, le prêtre unit les âmes au Dieu fort qui donne à chacun le courage et l’énergie nécessaires pour s’acquitter de ses devoirs.

Ministre du sacrement de pénitence, le prêtre absout inlassablement les pécheurs. Dispensateur de la miséricorde du Christ, il permet aux hommes d’apaiser leur conscience et de mettre en fuite Satan. Grâce au prêtre, tout pécheur contrit et pénitent peut se convertir jusqu’au soir de sa vie. Par ailleurs, le prêtre apporte le remède de l’onction des malades aux fidèles du Christ qui se trouvent en péril de mort.

Pasteur des âmes

Le prêtre aide les hommes à réaliser la volonté du Seigneur, telle qu’elle se manifeste dans la loi et les évènements de la vie. Sagement, il tente d’appliquer les principes de l’Évangile à la singularité des personnes et des situations. Tel est le rôle de la pastorale.

Médiateur, le prêtre rapproche les âmes de leur Sauveur, pour qu’elles puissent entrer un jour dans la joie de leur Maître. De plus, il encourage les chrétiens à se dévouer au service de l’Église et à œuvrer au bien commun de leur pays. Pour ce faire, le prêtre invite au discernement et à la prudence. Il stimule les énergies et réveille les cœurs endormis.

Instrument de miséricorde, le prêtre apporte la consolation du Seigneur aux personnes éprouvées dans leur corps et leur âme. Face aux drames de la vie, il recommande courage et confiance. Il exhorte à la prière persévérante et à l’action, en invitant chacun à prendre les bons moyens pour atteindre sa fin.

Artisan de paix, le prêtre cherche à réconcilier ceux qui sont divisés. Il aide les familles à conserver l’unité et à la restaurer, aussi souvent que nécessaire. Face aux situations de conflit qui accompagnent la vie, le prêtre agit en médiateur pour trouver des solutions justes mues par la charité.

Si l’Église ne peut se passer du ministère des prêtres pour remplir sa mission de salut, la question du recrutement sacerdotal s’avère décisive. Sur ce point, deux recommandations s’imposent. D’abord, il importe de demander au « maître de la moisson d’envoyer des ouvriers à sa moisson » (Lc 10, 2). En outre, il revient à chacun – aux parents spécialement – d’accompagner l’action du Saint-Esprit dans les cœurs, en montrant aux plus jeunes « la haute dignité, la beauté, l’utilité et le grand mérite » du sacerdoce (Pie XII, Exhortation Menti nostrae, 1950).

Abbé Pierre-Marie BERTHE

(Source : La lettre de Saint Florent - FSSPX.Actualités - 28/09/2018)

 

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Dimanche 28 juillet 2019 : Messe à 10h00

24 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre, le dimanche 28 juillet.

7ème dimanche après la Pentecôte  (Vert, 2nde Classe)

Après la Messe, apéritif paroissial pour le départ de Monsieur le Prieur.

 

 

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Le cardinal Brandmüller rejette le document préparatoire du Synode sur l’Amazonie

22 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Le cardinal Walter Brandmüller, président du Conseil pontifical des sciences historiques de 1998 à 2009 et co-auteur, en 2016, des célèbres Dubia sur Amoris lætitia – auxquels le pape François n’a jamais répondu –, accuse l’Instrumentum laboris (document de travail) du prochain Synode sur l’Amazonie d’hérésie et d’apostasie.

Sa déclaration a été publiée par le vaticaniste Sandro Magister, le 27 juin 2019, dix jours après la parution du document romain. Il s’y interroge sur la nécessité de ce synode sur l’Amazonie : « Avant tout, on est en droit de se demander pourquoi un synode des évêques devrait se pencher sur des thèmes qui – comme c’est le cas pour les trois quarts de l’Instrumentum laboris – ne concernent que marginalement les Evangiles ou l’Eglise. De toute évidence, il s’agit de la part du synode des évêques d’une ingérence agressive dans les affaires purement temporelles de l’Etat et de la société du Brésil. On pourrait se demander ce que l’écologie, l’économie et la politique ont à voir avec le mandat et la mission de l’Eglise.

« Et par-dessus tout : en quoi un synode ecclésial des évêques est-il compétent pour formuler des déclarations dans ces domaines ? Si le synode des évêques s’aventurait vraiment sur ce terrain, il sortirait alors de son rôle et ferait preuve alors d’une prétention cléricale que les autorités civiles seraient en droit de rejeter. »

Le haut prélat souligne « l’évaluation très positive que l’on fait des religions naturelles, y compris des pratiques de guérison indigènes et tout ce qui s’ensuit, y compris des pratiques et des rites mythico-religieux. Dans le contexte de l’appel à l’harmonie avec la nature, on y parle même de dialogue avec les esprits (n°75). (…)

« Le territoire – c’est-à-dire les forêts d’Amazonie – y est même déclaré être un locus theologicus (lieu théologique), une source singulière de la révélation de Dieu. Il y aurait en son sein les lieux d’une épiphanie où se manifeste la réserve de vie et de sagesse pour la planète, une vie et une sagesse qui parle de Dieu (n°19). Entretemps, la régression du Logos au Mythos qui en découle, est érigée en modèle de ce que l’Instrumentum laboris qualifie d’inculturation de l’Eglise. Le résultat est une religion naturelle recouverte d’un mince vernis chrétien. »

Le cardinal Brandmüller signale deux des objectifs de ce synode et la négation de la hiérarchie de l’Eglise qui s’ensuit : « Il est impossible de masquer que le synode vise surtout à mettre en œuvre deux projets auxquels on tient beaucoup et qui n’ont jamais été mis en œuvre jusqu’à présent : l’abolition du célibat et l’introduction d’un sacerdoce féminin – en commençant d’abord par le diaconat féminin. Quoi qu’il en soit, il s’agit de “tenir compte du rôle central que les femmes jouent aujourd’hui dans l’Eglise amazonienne” (n°129a3). D’une manière similaire, il s’agit à présent “d’ouvrir de nouveaux espaces pour la création de nouveaux ministères appropriés à ce moment historique. Il est temps d’écouter la voix de la région amazonienne…” (n°43).

« On oublie cependant de mentionner que Jean-Paul II avait affirmé avec la plus haute autorité magistérielle qu’il n’est pas dans le pouvoir de l’Eglise de conférer les ordres sacrés aux femmes (Ordinatio sacerdotalis, 22 mai 1994). En effet, en deux mille ans, l’Eglise n’a jamais administré le sacrement de l’Ordre à une femme. La demande qui va aujourd’hui dans la direction opposée montre que le mot “Eglise” est maintenant employé comme un terme purement sociologique de la part des auteurs de l’Instrumentum laboris (…).

« De la même manière – quoique sans s’y attarder – le n°127 (…) demande s’il ne serait pas opportun de “reconsidérer la notion selon laquelle l’exercice de la juridiction (le pouvoir de gouvernement) devrait être lié dans tous les domaines (sacramentel, judiciaire et administratif) et de façon permanente au sacrement de l’Ordre.” C’est à partir de cette vision erronée qu’ensuite (au n°129) on appelle à la création de nouveaux offices qui correspondraient aux besoins des peuplades amazoniennes. »

Toutes ces considérations amènent le prélat allemand à affirmer sans détour : « l’Instrumentum laboris confie au synode des évêques et en définitive au pape la charge d’une grave violation du Depositum fidei (dépôt de la foi), avec pour conséquence une autodestruction de l’Eglise ou bien la transformation du Corpus Christi mysticum (Corps mystique du Christ) en une ONG civile avec un mandat écologico-socialo-psychologique.
(…) Nous assistons à un nouvel avatar du modernisme classique du début du 20e siècle. » 

D’où la conclusion ferme du cardinal Brandmüller : « Il faut donc à présent affirmer avec force que l’Instrumentum laboris contredit l’enseignement impérieux de l’Eglise sur des points essentiels et qu’il doit donc être considéré comme hérétique. Et dans la mesure où le fait de la révélation divine y est remis en question, ou mal compris, il faut également parler d’apostasie.

« Cela se justifie d’autant plus à la lumière du fait que l’Instrumentum laborisrecourt à une conception purement immanentiste de la religion et qu’il considère la religion comme étant le résultat et la forme d’expression de l’expérience spirituelle personnelle de l’homme. L’emploi de notions et de termes chrétiens ne peut masquer que ceux-ci ne sont utilisés que comme des coquilles vides, en dépit de leur sens originel.

« L’Instrumentum laboris pour le synode sur l’Amazonie constitue une attaque contre les fondements de la Foi, d’une manière qu’on n’aurait jamais cru possible jusqu’ici, et il doit donc être rejeté avec la plus grande fermeté. »

LE RHIN POLLUE L’AMAZONE ET LE TIBRE

Stefano Fontana, dans son éditorial de La Nuova Bussola Quotidiana du 19 juin, demandait lui aussi aux évêques de récuser ce document de travail. De même Roberto de Mattei sur le site américain Rorate Cœli, le 20 juin : « Les évêques successeurs des apôtres vont-ils se taire ? Les cardinaux, les conseillers du pape dans le gouvernement de l’Eglise, se tairont-ils face à ce manifeste politico-religieux qui pervertit la doctrine et la pratique du Corps mystique du Christ ? »

Stefano Fontana, dans l’éditorial cité, résume l’Instrumentum laboris de façon lapidaire : « Deux gnosticismes convergent dans le document. Le premier est l’idée que le salut dérive d’une pratique, celle d’un christianisme révisé à partir d’une situation historique (d’exploitation) : c’était la voie de la théologie de la libération. Le second est représenté par le primitivisme écologiste de la vie dans le “tout’ de la Terre Mère dont les peuples amazoniens aujourd’hui exploités seraient les dépositaires. Deux gnosticismes en un. Deux gnosticismes peu amazoniens, beaucoup d’exportation occidentale, conçus dans les chaires de la nouvelle théologie catholique européenne. »

Cette influence du modernisme européen, plus particulièrement allemand, est confirmée par la récente tenue d’une réunion non publique, à Rome. Edward Pentin en donnait la composition, dans New Catholic Register du 26 juin : « Une rencontre privée s’est tenue mardi (25 juin) à Rome pour discuter du prochain Synode amazonien, avec la participation de prélats et d’experts en grande partie germanophones. (…) Les participants invités à la réunion d’étude, qui a eu lieu dans un couvent et centre de retraites spirituelles de la banlieue de Rome dirigé par la Congrégation des Ancelle di Cristo Re, comprenaient le cardinal brésilien Claudio Hummes, rapporteur général du Synode et président du REPAM (Réseau ecclésial panamazonien), le cardinal Lorenzo Baldisseri, secrétaire général du Synode des évêques, et le cardinal Walter Kasper, proche conseiller théologique du pape François.

« Egalement présent, l’Autrichien Erwin Kräutler, évêque émérite de la Prélature territoriale de Xingu au Brésil, que le pape François a nommé expert consultant auprès du Synode. Kräutler a plaidé pour l’ordination d’hommes mariés en Amazonie et a exprimé son soutien aux femmes prêtres. On pense qu’il a contribué à la rédaction du document de travail controversé sur le Synode, publié la semaine dernière. 

« Parmi les autres participants, Franz-Josef Overbeck, évêque d’Essen (Allemagne), à la tête de la Commission épiscopale allemande pour l’Amérique latine, qui, par l’intermédiaire de son organisation Adveniat, apporte un soutien financier et pastoral important à l’Amérique latine. Le mois dernier, Overbeck a dit que le Synode conduirait l’Eglise à un “point de non-retour” et qu’ensuite, “rien ne sera plus comme avant”. (…)

« Aucun de ceux figurant sur la liste des participants à la réunion n’est connu pour son orthodoxie. Parmi eux, le père Hubert Wolf, théologien et historien de l’Eglise, dont une source informée a dit qu’il était “en théorie et en pratique contre le célibat sacerdotal”. Ancien élève de l’Université de Tübingen, il a été ordonné prêtre dans son diocèse natal de Rottenburg-Stuttgart dans les années 1990 lorsque le cardinal Kasper était évêque diocésain. (…)

« Bien que le document de travail mette fortement l’accent sur l’écoute de la “voix de l’Amazonie”, le fait significatif et le dénominateur commun de cette rencontre, c’est le grand nombre de prélats et de théologiens européens et en particulier allemands, et le faible nombre, voire l’absence des voix amazoniennes. 

« La forte contribution de prélats et de théologiens germanophones a conduit des observateurs inquiets à croire que le Synode est un moyen pour eux d’imposer et de mettre en œuvre leur propre programme idéologique – particulièrement déroutant pour certains, étant donné l’état moins que robuste de l’Eglise catholique dans les pays germanophones et dans les autres pays d’Europe.

« Rendant compte du concile Vatican II, le prêtre américain Ralph Wiltgen a écrit le célèbre livre Le Rhin se jette dans le Tibre (1976, réédité par Dominique Martin Morin), qui relate l’influence de l’Eglise en Allemagne sur cette assemblée. Interrogé le 21 juin par le Register pour savoir si le Rhin coule désormais en Amazonie, le cardinal allemand Gerhard Müller, préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la foi a répondu : “Nous voyons que ce n’est pas une bonne influence parce que l’Eglise est en train de s’effondrer en Allemagne... Ils [les prélats allemands] ne sont pas conscients des vrais problèmes [dans l’Eglise aujourd’hui] : ils parlent de morale sexuelle, de célibat et de femmes prêtres, mais ils ne parlent pas de Dieu, de Jésus-Christ, de la grâce, des sacrements, de la foi, de l’espérance et de la charité, des vertus théologales”. »

Lors du Concile, face à la subversion moderniste venue des pays germanophones, une réaction se manifesta avec le Cœtus Internationalis Patrum où s’illustra Mgr Marcel Lefebvre. Il est à souhaiter qu’une semblable réaction surgisse pour endiguer le Rhin pollueur. Voilà la seule « écologie intégrale », intégralement catholique, qui s’impose face au dérèglement théologique généralisé. Tout le reste n’est que littérature. 

(Sources : Settimo Cielo/ Nuova Bussola Quotidiana /Rorate Cœli/New Catholic Register – trad. à partir de diakonos et benoitetmoi – FSSPX.Actualités - 15/07/2019) 

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Dimanche 21 juillet 2019 : Messe à 10h00

17 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre, le dimanche 21 juillet.

6ème dimanche après la Pentecôte  (Vert, 2nde Classe)

 

 

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La Pologne prend au sérieux la mission des prêtres exorcistes

15 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Afin de mieux préparer les prêtres à exercer leur mission, un centre national de formation pour les exorcistes va voir le jour à Katowice (Pologne). La nouvelle a été rendue publique en marge de l’assemblée plénière de la Conférence des évêques de Pologne qui s’est tenue mi-juin 2019. 

Le futur centre verra le jour dans la ville de Katowice, en Silésie : son but sera de préparer et d’accompagner les prêtres chargés de pratiquer des exorcismes, comme l’a précisé l’évêque d’Opole, Mgr Andrzej Czaja qui préside la Commission pour la doctrine de la foi au sein de l’épiscopat polonais. 

Ce centre de formation vient compléter d’autres initiatives destinées à venir en aide aux prêtres chargés de ce délicat ministère, comme une revue mensuelle fondée en 2012. 

La formation continue des prêtres exorcistes - la Pologne en compte 130, tandis que la France en compte une centaine - s’est développée au fil des décennies : parmi les institutions marquantes dédiées à ce but, l’Association internationale des exorcistes, fondée en 1991 par Dom Gabriele Amorth - exorciste du diocèse de Rome pendant près de 20 ans - regroupe 250 exorcistes disséminés dans plus de 30 pays. 

(Source : Vatican News/Cath.ch - FSSPX.Actualité - 06/07/2019) 

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Dimanche 14 juillet 2019 : Messe à 10h00

10 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre, le dimanche 14 juillet.

5ème dimanche après la Pentecôte  (Vert, 2nde Classe)

Appéritif paroissial & buffet après la Messe.

 

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Érection d'une Croix au Sommet de la Grand-Garde

8 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Érection d'une Croix au Sommet de la Grand-Garde

Il y a un peu plus de 10 ans, le 11 février 2009, lors d'un accident en montagne, trois séminaristes d'Ecône étaient rappelés à Dieu. Afin de perpétuer leur souvenir une Croix a été érigée sur la Grand-Garde, un sommet situé en face du séminaire. La Croix a été bénite le 18 juin 2019 en présence de tout le Séminaire, des familles des victimes ainsi que d'amis valaisans.

Préparatifs :

C'est en 2013 que l'idée a vu le jour, mais elle resta à ce stade jusqu'au printemps passé. Il fallut ensuite une année entière pour mener à bien ce beau projet. La Croix fut construite par un charpentier valaisan, un autre l'habilla de cuivre, quelques autres assurèrent la solidité des fondations… les travaux durèrent un mois.

Un hélicoptère permit de monter au sommet le socle métallique de 70kg, ainsi que la perceuse et son compresseur. En effet la roche fut creusée sur 1,60m de profondeur. 105kg devaient encore être acheminés en haut par les séminaristes.

Le lundi 17 juin 2019, dès la fin de leurs examens, un groupe de séminaristes entreprit l'ascension. Ils portèrent joyeusement la croix sur 1km de distance et 200m de dénivelé, avant de la fixer solidement à son emplacement définitif.

Bénédiction :

C’est à l'abbé Bernard de Lacoste, directeur du séminaire, que revint l’honneur de procéder à la benedictio solemnis : en quelques mots, il exposa les motifs qui avaient guidé le projet.

À la liturgie de l’Église succède Jésus-Christ monte au Calvaire de Pergolèse, tandis que chacun vient adorer la croix. Finalement, les frères Sabak, et monsieur l’abbé Sabur prêtent leur voix au Stabat Mater du rit chaldéen.

 

Allocution de M. l'abbé de Lacoste :

Chers amis,
 

 

Nous voici réunis au sommet de la Grande Garde pour la bénédiction d’une croix érigée en souvenir de trois séminaristes d’Ecône mort dans une avalanche il y a dix ans : Raymond Guérin, Mickaël Sabak et Jean-Baptiste Després. Si ce projet de croix a pu être réalisé, en dépit de plusieurs difficultés rencontrées, c’est grâce à la générosité et aux compétences de plusieurs fidèles d’Ecône. Je tiens donc à les remercier vivement de leur aide efficace et discrète.
 

 

L’accident du 11 février 2009 a eu lieu à Cleuson. Pourquoi donc planter une croix ici, sur une autre montagne ? Parce que cette croix est visible depuis le séminaire. Ainsi, les prêtres, les futurs prêtres, les frères et les fidèles d’Ecône n’auront qu’à lever les yeux pour la voir, ce qui est bénéfique pour trois raisons :
 

 

La première, c’est que la Fraternité St-Pie X est une grande famille. Lorsque l’un de ses membres est rappelé à Dieu, nous ne voulons pas l’oublier. Il doit rester présent dans notre mémoire. Nous savons que son âme est immortelle. Surtout, en observant cette croix, nous penserons à prier pour nos confrères décédés, ainsi que pour tous ceux qui sont mort en montagne. Peut-être certains sont-ils encore au purgatoire.
 

 

La deuxième raison, c’est que le regard jeté sur cette croix affermira notre espérance. Il est en effet écrit sur le bras horizontal : O Crux ave spes unica, O Croix, salut, notre unique espérance. Elle nous rappelle notre destinée : nous sommes des pèlerins et des étrangers sur la terre, notre vraie patrie, c’est le ciel, et c’est par la croix que nous atteindrons le ciel.
 

 

La troisième raison, c’est que nous vivons dans un monde qui refuse la Croix et le règne de Notre-Seigneur Jésus-Christ. En plaçant au sommet de cette montagne l’étendard de notre roi, nous voulons rappeler au monde qu’au-dessus de tous les gouvernants terrestres, c’est Dieu qui règne par sa croix.

 "
05 JUILLET, 2019 
PROVENANCE : FSSPX.NEWS

 

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Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019

7 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - juillet 2019

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Dimanche 7 juillet 2019 : Messe à 10h00

3 Juillet 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre, le dimanche 7 juillet.

4ème dimanche après la Pentecôte  (Vert, 2nde Classe)

Pour rappel : Samedi 6 juillet : Messe à 11h15.

 

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