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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Dimanche 3 juillet : Messe à 10h00

29 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 3 juillet :

4ème dimanche après la Pentecôte (Rouge - 2ème classe) :

Solennité des saints Apôtres Pierre et Paul.

1ère communion

Apéritif paroissial après la Messe.

 

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Dimanche 26 juin : Messe à 10h00

22 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 26 juin :

3ème dimanche après la Pentecôte (Blanc - 2ème classe) :

Solennité du Sacré-Cœur de Jésus.

 

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Saint Augustin : la virginité féconde de Marie

19 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Saint Augustin (354-430), est considéré comme le plus grand des Pères d’occident. Il a eu une influence considérable sur le développement de la théologie catholique et sur la doctrine spirituelle. Il n’a pas écrit de traité sur la Vierge Marie, mais a laissé quelques pages profondes sur la mère du Verbe incarné.

Sur la conception immaculée de Marie :

« Ainsi donc, à l’exception de la sainte Vierge Marie, dont il ne saurait être question quand je traite du péché et dont je ne saurais mettre en doute la parfaite innocence, sans porter atteinte à l’honneur de Dieu ; car celle qui a mérité de concevoir et d’enfanter l’innocence même, le Verbe incarné, pouvait-elle ne pas recevoir toutes les grâces par lesquelles elle serait victorieuse de tout péché quel qu’il fût ? » (De la Nature et de la grâce, 42).

Sur la virginité féconde de l’Eglise et de Marie :

2. L’Eglise universelle est tout à la fois vierge et épouse de Jésus-Christ, selon la parole de l’Apôtre (2 Co, 11, 2). De quelle gloire, dès lors, ne sont pas couronnés ceux de ses membres qui réalisent, dans leur propre chair, ce que l’Eglise tout entière réalise dans sa foi, imitant ainsi la mère de son Epoux et de son Seigneur ?

L’Eglise est en même temps vierge et mère. Si elle n’est pas vierge, de qui donc cette intégrité que nous entourons de notre sollicitude ? Si elle n’est pas mère, de qui donc ces enfants que nous engendrons par la parole ? Marie a enfanté corporellement le Chef de cette famille ; l’Eglise enfante spirituellement les membres de ce Chef.

Dans l’une et l’autre de ces deux mères, la virginité n’est point un obstacle à la fécondité, ni la fécondité un obstacle à la virginité. L’Eglise est donc sainte de corps et d’esprit, mais dans l’universalité de ses membres elle n’est vierge que d’esprit et non pas de corps ; combien n’est-elle pas plus sainte dans ceux de ses membres où elle est vierge de corps et d’esprit ?

Parenté spirituelle avec Jésus-Christ

3. Il est écrit dans l’Evangile que la mère et les frères, c’est-à-dire les parents de Jésus-Christ le firent prévenir qu’ils l’attendaient au dehors, parce que la foule ne leur permettait pas d’arriver jusqu’à lui. Et le Sauveur de répondre : « Quelle est ma mère et qui sont mes frères ? »

Puis, étendant la main sur ses disciples, il ajouta : « Voici mes frères ; et quiconque fera la volonté de mon Père, celui-là est mon frère, ma sœur et ma mère (Mt 12, 48-50) ».

N’est-ce pas nous dire clairement qu’il préfère notre alliance spirituelle à la parenté charnelle ? N’est-ce pas nous annoncer que le bonheur, pour les hommes, ne consiste pas à avoir, avec les justes et les saints, une parenté charnelle, mais à leur être uni par l’imitation de leur vie et la soumission à leur doctrine ? Marie fut donc plus heureuse en recevant la foi de Jésus-Christ, qu’en enfantant sa chair.

« Bienheureux le sein qui vous a porté », s’écriait une femme ; « bien plus heureux, reprit le Sauveur, ceux qui écoutent la parole de Dieu et la mettent en pratique (Lc 11, 27-28) ». A ceux de ses frères, c’est-à-dire à ceux de ses parents qui ne crurent point en lui, de quel avantage fut cette parenté ?

La maternité même de Marie n’eût été pour elle d’aucune utilité, si en portant Jésus-Christ dans sa chair, elle ne l’avait porté plus heureusement dans son cœur.

(De la sainte Virginité, 2-3)

Les plus beaux textes sur la Vierge Marie, P. Pie Régamey

(Source : Régamey - FSSPX.Actualités)

 

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Dimanche 19 juin : Messe à 10h00

15 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe, #annonces

Messe à 10h00 le dimanche 19 juin : 2nd dimanche après la Pentecôte (Blanc - 2ème classe).

Solennité de la Fête Dieu.

1ère communion et communion solennelle.

Apéritif paroissial après la Messe.

 

 

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Notre-Dame de Covadonga

12 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Sans Covadonga, il n’y aurait pas d’Espagne chrétienne, et ce pays pourrait maintenant n’être qu’une nation musulmane, comme la Syrie, l’Egypte ou l’Algérie, où des christianismes séculaires et florissants ont fini noyés sous les vagues de l’Islam.

Covadonga, ou Cova Dominica, ou encore Cova de la Señora doit être racontée.

Antécédents wisigothiques

 

En 711, près de la rivière Guadalete – près de Séville, au sud de l’Espagne – quelques 20.000 guerriers arabes et berbères défirent une armée d’au moins 50.000 hommes d’une des plus puissantes monarchies du VIIIe siècle, sous le roi Rodéric, qui périt dans la bataille.

Puis ce fut la conquête de toute la Péninsule ibérique. Les envahisseurs se lancèrent ensuite en France. La marée musulmane ne fut arrêtée, comme cela est bien connu, que près de Poitiers, en 732, par Charles Martel, le grand-père de Charlemagne.

Après la bataille de Guadalete, la résistance à l’occupant se concentra dans le nord-ouest de l’Espagne, en particulier dans la Cantabrie et les Asturies.

La bataille de Covadonga

 

Cette résistance finit par irriter les Omeyyades qui décidèrent une expédition en 722. Les troupes chrétiennes, commandées par le roi Pélage de Cantabrie, attirèrent habilement ses ennemis très supérieurs en nombre au cœur des Pics d’Europe, où elles prirent le dessus et battirent complètement les envahisseurs.

Après cet épisode, les Omeyyades ne remirent plus en question l’indépendance des Asturies, qui devint le noyau de départ de la Reconquista, dont la bataille de Covadonga marque le début.

Au cours de l'affrontement, Pélage dut se réfugier dans la grotte de Covadonga, une sorte d’ermitage, dans laquelle se trouvait une Vierge à l’Enfant à laquelle le roi et ses soldats se confièrent. A sa mort en 737, le roi demanda à être enterré avec sa femme dans le sanctuaire béni.

Dévotion à la Vierge de Covadonga

 

Le premier culte du sanctuaire fut confié aux Bénédictins au VIIIe siècle. Alphonse II d’Asturies a contribué à la construction d’un temple primitif ; Ferdinand III le Saint et Alphonse X le Sage ont augmenté ses possessions ; parmi les monarques espagnols, Isabelle II a été la première à le visiter, accompagnée de son confesseur saint Antoine Marie Claret.

Un escalier de « la promesse » donne accès à la sainte Grotte. Les pèlerins le montent à genoux, en remerciant Dieu ou en lui demandant des faveurs. Au bout se trouve l’inscription en pierre : « Ici, au nom de la Mère de Dieu, d’entre les rochers, sur les sommets, l’Espagne s’est levée. »

La basilique a été inaugurée en 1901. L’image actuelle de la Vierge date du XVe siècle. Le gouvernement du Front populaire l’a saisie et emmenée hors d’Espagne, mais elle a été sauvée à Paris en 1939 et ramenée avec tous les honneurs, suscitant un énorme enthousiasme partout où elle est passée : Irún, San Sébastian, Loyola, Mondragon, Vitoria, Valladolid, León…

Le musée-exposition regorge d’offrandes et d’ex-voto faits à la Vierge de Covadonga, “la Santina” comme on l’appelle populairement, qui sont un témoignage vivant de la dévotion de ses enfants et de ses faveurs maternelles.

Covadonga est un lieu vénéré, auquel aucun Espagnol ne peut se sentir étranger ; le berceau de sa nationalité, le noyau autour duquel l’Espagne médiévale et moderne s’est condensée, la source de sa rechristianisation.

(Sources : Wikipédia/La Virgen del Pilar y Santiago – FSSPX.Actualités)

 

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Dimanche 12 juin : Messe à 10h00

8 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 12 juin : 1er dimanche après la Pentecôte (Blanc - 1ère classe).

Fête de la très sainte Trinité.

Salut du Très Saint Sacrement. Intention spéciale : "Pour les ordinations diaconales et sacerdotales du 29 juin 2022".

 

 

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Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022

6 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces, #articles, #calendrier

Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022
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Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de Juin 2022
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Saint Ambroise : Marie, Miroir des vierges

5 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Saint Ambroise (339-397) fut d’abord administrateur, élevé, alors qu’il n’était que catéchumène, du gouvernement civil de Milan au siège épiscopal. C’est un fin psychologue et un contemplatif.

 

Ce Latin énergique s’est mis à l’école des Pères grecs pour s’initier à la doctrine chrétienne. Il a des accents profonds et très doux, ainsi que de hautes vues mystiques, fort originales parmi les Occidentaux de son temps. Le texte qui suit est tiré du deuxième livre du De Virginibus – un traité adressé aux Vierges et dédié à sa sœur Marcelline, religieuse à Rome.

C’est l’ardeur à l’étude qui fait d’abord la noblesse du maître. Quoi de plus noble que la mère de Dieu ? Quoi de plus splendide que celle-Ia même qu’à choisie la splendeur ? Quoi de plus chaste que celle qui a engendré le corps sans souillure corporelle ? Et que dire de ses autres vertus ? Elle était vierge, non seulement de corps, mais d’esprit, elle dont jamais les ruses du péché n’ont altéré la pureté.

Humble de cœur, réfléchie dans ses propos, prudente, avare de paroles, avide de lecture ; elle mettait son espoir non dans l’incertitude de ses richesses, mais dans la prière des pauvres ; appliquée à l’ouvrage, réservée, elle prenait pour juge de son âme non l’homme, mais Dieu ; ne blessant jamais, bienveillante à tous, pleine de respect pour les vieillards, sans jalousie pour ceux de son âge, elle fuyait la jactance, suivait la raison, aimait la vertu. (…)

Bien que Mère du Seigneur, elle aspirait pourtant à apprendre les préceptes du Seigneur ; elle qui avait enfanté Dieu, souhaitait pourtant de connaître Dieu. Elle est le modèle de la virginité. La vie de Marie doit être en effet à elle seule un exemple pour tous. Si donc nous aimons l’auteur, apprécions aussi l’œuvre ; et que toutes celles qui aspirent à ses privilèges imitent son exemple.

Que de vertus éclatent en une seule vierge ! Asile de la pureté, étendard de la foi, modèle de la dévotion, vierge dans la maison, auxiliaire pour le sacerdoce, mère dans le temple. Combien de vierges ira-t-elle chercher pour les prendre dans ses bras et les conduire au Seigneur, disant : Voici celle qui a gardé le lit de mon Fils, celle qui a gardé la couche nuptiale dans une pureté immaculée.

Et de même le Seigneur les confiera au Père, redisant la parole qu’il aimait : « Père saint, voici celles que je t’ai gardées, sur lesquelles le Fils de l’homme inclinant la tête s’est reposé ; je demande que là où je suis, elles soient avec moi. » (Jn 17, 24)

Mais puisque, n’ayant pas vécu pour elles seules, elles ne doivent pas se sauver seules, puissent-elles racheter, l’une ses parents, l’autre ses frères. Père juste, le monde ne m’a pas connu, mais elles m’ont connu, et elles n’ont pas voulu connaitre le monde. » (Jn17, 25)

Quel cortège, quels applaudissements d’allégresse parmi les anges ! elle a mérité d’habiter le ciel, celle qui a vécu dans le siècle une vie céleste. Alors Marie, prenant le tambourin, conduira les chœurs des vierges, chantant au Seigneur, et bénissant d’avoir traversé la mer du siècle sans sombrer dans ses remous. (Ex 15, 20)

Alors, toutes exulteront, disant : « J’entrerai à l’autel de mon Dieu, du Dieu qui réjouit ma jeunesse. » (Ps 43, 4) J’immole à Dieu un sacrifice de louange, et j’offre mes vœux au Très-Haut. » (Ps 50, 14)

Et je ne doute pas que devant vous ne s’ouvrent tout grands les autels de Dieu, vous dont j’oserais dire que les âmes sont des autels où chaque jour, pour la rédemption du Corps mystique, le Christ est immolé.

Car si le corps de la Vierge est le temple de Dieu, que dire de l’âme, qui, mise à nu par la main du Prêtre éternel, les cendres du corps pour ainsi dire écartées, exhale la chaleur du feu divin ? Bienheureuses vierges, embaumées du parfum immortel de la grâce, comme les jardins par les fleurs, les temples par le culte divin, les autels par le prêtre.

Tiré de : Les plus beaux textes sur la Vierge Marie, par le P. Pie Régamey

(Source : Régamey – FSSPX.Actualités)

 

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Dimanche 5 juin : Messe à 18h00

2 Juin 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe, #annonces, #calendrier

Messe à 18h00 le dimanche 5 juin : Dimanche de la Pentecôte (Rouge - 1ère classe).

Attention ! Horaire exceptionnel à 18h00 !

Pas d'offices le premier samedi du mois.

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