Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Dimanche 1er mars : Messe à 10h00

28 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Dimanche 1er mars

Messe à 10h00 

1er dimanche de Carême  (Violet, 1ère Classe)

Imposition des cendres.

 

Lire la suite

Un diocèse africain interdit la communion dans la main

27 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Dans un décret publié le 1er février 2020, l’archevêque de Kampala (Ouganda) interdit désormais de recevoir la communion dans la main et de célébrer la messe ailleurs que dans les édifices religieux prévus à cet effet. 

« Désormais, il est interdit de distribuer ou de recevoir la Sainte Communion dans les mains », a décrété Mgr Cyprian Kizito, archevêque de la capitale ougandaise depuis 14 ans. 

Le prélat rappelle que « l’Eglise nous enjoint de célébrer la Très Sainte Eucharistie avec le plus grand honneur », et qu’en raison « des nombreux cas d’abus en relation avec la réception de l'Eucharistie dans la main, il convient de revenir au rite le plus respectueux qui consiste à la recevoir sur la langue. » 

Les nouvelles règles épiscopales ne se limitent pas à la réception de la communion sacramentelle, mais s’étendent au lieu dans lequel se déroule la messe, qui « doit désormais être célébrée dans les lieux sacrés désignés à cet effet, car il en existe suffisamment dans l’archidiocèse ». 

Bien sûr, cette prise de position ne constitue pas encore une remise en cause doctrinale des réformes liturgiques issues du concile Vatican II, ni des principes qui ont miné la notion de sacrifice si essentielle à la messe, que l’œuvre de Mgr Lefebvre a pour mission de restaurer dans sa doctrine comme dans son rite. Mais elle revient sur l’une de ses principales et plus spectaculaires applications, au même titre que le retournement de l’autel ou l’abandon du latin.

Ainsi que le rappelait le 18 janvier 2020 le Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X, lors du congrès du Courrier de Rome : « les âmes de bonne volonté marchent à leur rythme, elles ont besoin d’entendre prêcher la Tradition dans son intégralité ». Cette prédication est la plus grande aide que nous puissions apporter à l’Eglise et à ses membres.  

(Source : Catholic News Agency - FSSPX.Actualités - 19/02/2020) 

Lire la suite

Mercredi 26 Février : Mercredi des cendres

25 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces, #calendrier

Mercredi des cendres : Jeûne et abstinence

1er jour du Carême.

 

Lire la suite

Philippines : Mission Rosa Mystica, c’est reparti !

23 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Depuis le 16 février et jusqu'au 22 février 2020, la 14e mission médicale Rosa Mystica se déroule à Butuan, au Nord de Mindanao, la grande île du sud des Philippines. Située au bord de la mer de Bohol, Butuan est la 4e grande ville de l’île. 

Depuis 1996 les prêtres de la Fraternité Saint-Pie X desservent la petite chapelle du quartier de Santa Lucia, à Butuan, où ont été relogées les victimes de catastrophes naturelles. Ce quartier misérable est lui-même inondable… Mais les pauvres sans-abris n’ont pas le choix. Ici l’extrême pauvreté matérielle s’accompagne souvent d’une grande détresse morale et spirituelle. Et cependant, dans ces champs de misères, la Foi a refleuri !

C’est à la demande d’une fidèle philippine, Bernadette, véritable apôtre de Marie, qu’un prêtre viendra célébrer la messe traditionnelle dans ce village au lendemain de Noël 1996. La maison sur pilotis qui devait servir de chapelle ce jour-là, menaça de s’effondrer sous le poids de la centaine de fidèles ! Il a fallu déménager dans les prés… 

Les parents de Bernadette se sont installés dans ce quartier après avoir abandonné leur ferme submergée au passage d’un typhon, puis un commerce en ville détruit par un incendie. Pour subvenir au besoin de sa famille, Bernadette lâche ses études et trouve une place d’aide familiale à Manille. Très pieuse et se sentant isolée dans cette immense cité, elle prie le ciel de lui permettre de rencontrer des fidèles catholiques. C’est alors qu’elle reçoit une lettre d’un inconnu qui lui parle de la crise de l’Eglise et l’invite à rejoindre un groupe de fidèles catholiques. Après réflexion, elle se tourne vers eux et s’associe à leur combat pour le retour de la messe traditionnelle aux Philippines, autour du père Manuel Pinon, un courageux dominicain qui célébra la messe traditionnelle dans l’église Santo Domingo, jusqu’à son interdiction par le cardinal Jaime Sin, archevêque de Manille de 1974 à 2003. Bernadette sera l’une des fidèles qui assistèrent à la première messe de la Fraternité Saint-Pie X aux Philippines. 

Plus tard, elle émigre à Hong Kong pour un emploi de domestique mieux rémunéré. Elle y poursuit son apostolat. Elle organise un Rosaire à la cathédrale de l’Immaculée Conception où se retrouvent de nombreux employés philippins. Elle apprend que des prêtres de la Fraternité Saint-Pie X passent régulièrement dire la messe dans une petite maison privée ; elle s’y rend et entraîne avec elle les membres de son groupe du Rosaire : il fallut alors déménager dans un lieu de messe plus vaste et plus accessible !

Lors de la visite de l’abbé Marc Vernoy, elle lui demande s’il pourrait un jour visiter son village Santa Lucia, et y célébrer la messe pour sa famille et ses voisins. C’est ainsi qu’il s’y rendra le 26 décembre 1996. Après un long voyage de missionnaire « standard », – 16 heures de bus par des routes très accidentées, la traversée en barque d’une rivière grouillante de crocodiles, sans débarcadère où l’accostage se fait en sautant dans les marécages pour gagner précipitamment la rive, enfin une piste boueuse jusqu’au village –, l’abbé Vernoy découvre une coquette maison sur pilotis aménagée en chapelle. Mais, tremblant sous le poids des nombreux fidèles, la chapelle sur pilotis est rapidement évacuée ! 

Bernadette continuera à soutenir l’apostolat dans son village en envoyant des cassettes de catéchisme qu’elle enregistre elle-même, des livres et des brochures, et en prenant sur ses maigres revenus pour l’édification d’un local pour le catéchisme. Une maison sera transformée en chapelle. Et, six ans après cette première messe, les prêtres s’y rendront trois fois par an. Aujourd’hui, grâce au zèle missionnaire des prêtres de la Fraternité Saint-Pie X et des catéchistes (dont un jeune homme qui a quitté ses études pour s’y consacrer) l’apostolat continue. 

C’est dans ce village que la mission Rosa Mystica va exercer son activité ces prochains jours, espérant apporter un peu de soulagement aux misères de ces pauvres parmi les pauvres, tandis que les prêtres leur porteront l’Espérance de Jésus-Christ.

Les volontaires comptent beaucoup sur vos prières, afin que la Mission se déroule dans les meilleures conditions et qu’elle puisse, grâce à la charité de tous, mener les âmes vers le Bon Dieu. Vous pouvez aussi aider la Mission en faisant un don. Cette œuvre ne repose que sur la générosité de ses amis et de ses bienfaiteurs. Don par chèque à l’ordre d’ACIM : ACIM - 2, route d’Equihen - F-62360 Saint-Etienne-au-Mont ; ou don en ligne par Paypal : https://www.rosamystica-mission.com/spenden?lang=fr

(Source : rosamystica-mission - DICI – FSSPX.Actualités - 18/02/2020) 

Lire la suite

Dimanche 23 février : Messe à 10h00

18 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Dimanche 23 février.

Messe à 10h00 

Dimanche de la Quinquagésime  (Violet, 2ème Classe)

Apéritif paroissial après la Messe.

 

Lire la suite

Pie XII et l’Eglise complices des nazis : la légende noire s’effrite de plus en plus

16 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Alors que quatre rabbins s’émeuvent de la présence d’une église à Birkenau en Pologne, un article publié par Vatican News, le 29 janvier 2020, fait le point sur le rôle de premier plan que Pie XII et de nombreux religieux jouèrent dans le sauvetage de milliers de juifs lors de la rafle de 1943, à Rome. Une réfutation supplémentaire de la légende noire d’une Eglise soi-disant complice du régime national-socialiste. 

Le samedi 16 octobre 1943, jour de sabbat chez les Juifs, les hommes de la Gestapo encerclent le ghetto juif de Rome dès 5h30 du matin. En huit heures, 689 femmes, 363 hommes et 207 enfants sont faits prisonniers. Seuls 16 des 1 259 juifs arrêtés survivront à deux années de déportation. 

Un chiffre qui aurait pu être dramatiquement plus élevé si l’Eglise, sous l’impulsion du pape Pie XII, n’avait pas ouvert ses portes aux fugitifs. C’est ce qu’explique Paolo Ondarza sur Vatican News : « une porte ouverte, refuge sûr pour échapper à la mort : c’est ce que représentèrent plus de 220 couvents, églises et maisons appartenant à différents ordres religieux qui, au cœur de la persécution nazie, offrirent un abri à environ 4 500 juifs de Rome, presque la moitié de toute la communauté juive de la capitale, qui représentait alors entre 10 et 12 000 personnes. » 

Si, du fait de la clandestinité, il est difficile de quantifier précisément le nombre total de juifs sauvés par l’Eglise, la recherche historique peut néanmoins se baser sur de nombreux témoignages oraux et fiables, notamment ceux « des juifs cachés dans des maisons religieuses à la libre initiative de celles-ci, d’autres hébergés dans des monastères cloîtrés sur l’indication et avec la dispense du Saint-Siège ; des sites chrétiens comme les Catacombes de Priscille, devenus des lieux de référence pour le réseau des faux papiers, des maisons religieuses qui recevaient des vivres du Vatican pour nourrir les réfugiés qu'elles accueillaient. Des structures qui ouvraient leurs portes gratuitement et celles qui demandaient le paiement d’une pension ». 

Un élan de générosité souhaité par Pie XII lui-même, comme l’attesta en 1961 l’ancien secrétaire particulier du pape Pacelli : ce dernier avait fait savoir aux couvents romains qu’ils « pouvaient et devaient » accueillir les juifs recherchés. 

A noter que le grand séminaire du Latran - le séminaire du pape - a lui-même donné l’asile à toutes sortes de réfugiés, notamment des opposants au régime, y compris des communistes : l’Eglise n’est pas rancunière lorsqu’il s’agit de sauver les âmes.

(Source : Vatican News - FSSPX.Actualités - 11/02/2020) 

Lire la suite

Dimanche 16 février : Messe à 10h00

12 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Dimanche 16 février.

Messe à 10h00 

Dimanche de la Sexagesime  (Violet, 2ème Classe)

Conférence sur la vie spirituelle après la Messe de 11h30 à 12h00.

 

 

Lire la suite

La grandeur du sacerdoce : le sacerdoce de Jésus-Christ

11 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Devant les menaces qui semblent se préciser contre le célibat sacerdotal, il est nécessaire de rappeler les fondements inébranlables de cette discipline aussi ancienne que l’Eglise. Il convient de commencer par rappeler la grandeur du sacerdoce fondé par Jésus-Christ, auquel participent les prêtres de la Nouvelle alliance, et la sainteté réclamée par cet état. 

Sacerdos alter Christus : le prêtre est un autre Christ. La grandeur du prêtre tient au fait qu’il possède, par le caractère sacerdotal, une participation au sacerdoce même du Christ. Considérer le Christ-Prêtre est le seul moyen d’accéder à la vérité et à la grandeur du sacerdoce catholique. 

L’essence du sacerdoce 

L’Epître aux Hébreux donne cette célèbre définition du sacerdoce : « Tout pontife pris d’entre les hommes est chargé pour eux du service divin avec mission d’offrir des dons et des sacrifices en expiation des péchés » (He 5, 1). Ainsi, le prêtre est médiateur : il offre à Dieu des sacrifices et des oblations au nom du peuple, c’est la médiation ascendante. Mais il est aussi choisi par Dieu pour communiquer aux hommes ses grâces de miséricorde et de pardon, c’est la médiation descendante. La médiation est constitutive du sacerdoce. 

Mais de qui le Christ reçoit-il son sacerdoce ? Saint Paul répond que le sacerdoce est si élevé, que pas même « le Christ dans son humanité, n’a pu s’arroger cette dignité ». C’est le Père lui-même qui a établi son Fils prêtre éternel : « le Christ ne s’est pas non plus donné lui-même la gloire de devenir grand Prêtre, mais Celui qui s’est adressé à lui la lui a donnée : Tu es mon Fils, aujourd’hui je t’ai engendré ; comme il dit aussi ailleurs : Tu es prêtre pour l’éternité selon l’ordre de Melchisédech » (He 5, 4-6). 

Et comment le Christ est-il devenu prêtre ? De la même manière qu’il est devenu le médiateur entre Dieu et les hommes : par son incarnation. Car le médiateur doit être intermédiaire entre des extrêmes et les joindre entre eux. Ce qui exige deux conditions : 1) se trouver à distance des extrêmes ; 2) transmettre à chacun des extrêmes ce qui appartient à l’autre. 

Le Christ comme homme remplit ces deux conditions : il est distant de Dieu par la nature, mais également des hommes par l’immense dignité de sa grâce et de sa gloire. De plus, il transmet les préceptes et les dons de Dieu aux hommes, et la satisfaction, les demandes et les prières des hommes à Dieu. Non comme s’il les avait reçus des hommes, mais parce qu’il offre à Dieu, pour les hommes, ce qu’il a offert et satisfait pour eux. 

C’est pourquoi le Christ devient prêtre au moment même de l’incarnation. Dès cet instant, il est médiateur et pontife. Par l’union hypostatique – l’union des deux natures, divine et humaine, dans l’unité de la personne du Verbe – le Fils, la deuxième personne de la Trinité, pénètre et possède l’âme et le corps de Jésus, il les consacre. 

Jésus-Christ est donc le prêtre par excellence. « C’est bien là le grand-prêtre qu’il nous fallait, saint innocent, sans tache… élevé par-delà les cieux » selon les mots de saint Paul (He 7, 26). Jusqu’à la fin des temps, les prêtres d’ici-bas ne recevront qu’une participation de son pouvoir : il est la source unique de tout le sacerdoce. 

Ainsi pouvons-nous dire que le sein de la Bienheureuse Vierge Marie a été le sanctuaire dans lequel s’est déroulée la première consécration sacerdotale – et d’une certaine manière, la seule, toutes les autres étant contenues en elle. 

Le Christ, prêtre et victime 

A la différence de tout autre sacrifice, et spécialement des sacrifices de l’Ancien Testament, dans le sacrifice de la Loi nouvelle, le prêtre est aussi l’hostie offerte. Le sacrificateur et la victime sont unis dans une seule et même personne. Ce sacrifice glorifie Dieu d’un hommage parfait, il rend le Seigneur propice aux hommes et il obtient pour eux toute grâce de vie éternelle. 

En Jésus souverain prêtre, une révérence et une adoration profonde emplissaient son âme, par la contemplation de la majesté infinie de son Père. Il le connaissait comme aucune créature ne pourra jamais le connaître : « Père juste, si le monde ne vous connaît pas, moi je vous connais » (Jn 17, 25). 

Les perfections divines ornaient son intelligence : l’absolue sainteté du Père, sa justice souveraine, sa miséricorde infinie. Cette vue le plongeait dans la crainte révérencielle et dans la vertu de religion qui doit animer le prêtre sacrificateur. 

En Jésus victime immaculée, nous découvrons encore l’adoration, mais qui s’exprime par l’acceptation de l’anéantissement et de la mort. Il se savait destiné à la Croix pour la rémission des péchés du monde ; devant la justice divine, il se sentait chargé du poids terrifiant de toutes les offenses du genre humain. Il acquiesçait pleinement à ce rôle de victime. 

Ainsi, en entrant dans le monde, le Fils de Dieu a pris un corps apte à endurer la souffrance et la mort : « Notre grand-prêtre n’est pas impuissant à compatir à nos infirmités, ayant voulu lui-même les éprouver toutes comme nous, hormis le péché » (He 4, 15), jusqu’à la mort et la mort sur la croix. 

Le Christ exerce son sacerdoce 

La vie tout entière de Jésus fut sacerdotale, mais l’exercice de son sacerdoce brille tout particulièrement en quatre occasions : au moment de l’Incarnation, à la dernière Cène, sur la Croix et après son Ascension. 

Le premier mouvement de l’âme du Fils de Dieu incarné fut un acte de souveraine religion. Saint Paul le révèle : « En venant en ce monde, le Christ a dit : “Parce que vous n’avez plus voulu ni sacrifice ni oblation, vous m’avez formé un corps. Vous n’avez plus agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché, alors j’ai dit : Me voici – car il est question de moi dans le rouleau de la Bible – je viens, ô Dieu, pour faire votre volonté” » (He 10, 5-7). Cette ineffable offrande fut sa réponse à la grâce sans pareille de l’union hypostatique ; elle fut un acte sacerdotal préludant au sacrifice rédempteur et à tous les actes du sacerdoce céleste. 

A la Cène, le Christ est pontife et hostie, comme l’affirme le concile de Trente : « A la dernière Cène, se déclarant lui-même prêtre établi pour l’éternité selon l’ordre de Melchisédech, il offrit au Père son corps et son sang, sous les espèces du pain et du vin ». Prêtre souverain, de sa propre autorité immédiate, il institue trois merveilles surnaturelles qu’il lègue à son Eglise : le sacrifice de la messe, le sacrement de l’eucharistie intimement uni à la messe, le sacerdoce dérivé du sien destiné à être perpétué jusqu’à la consommation des siècles. 

Sur la Croix, le Christ nous rachète par l’acte de religion le plus élevé qui soit : le sacrifice. Ce sacrifice est éminemment propitiatoire. Aux yeux de Dieu, la valeur de l’immolation de son Fils dépassa toute l’aversion qu’il avait pour nos outrages. Cette immolation sanglante est ce qui constitue le sacrifice. 

Enfin, Jésus remonté au Ciel consomme éternellement son sacrifice en nous en communiquant les fruits dans le temps et dans l’éternité. Au ciel se célèbre une liturgie grandiose : le Christ s’offre au Père, et cette oblation glorieuse est l’achèvement, la consommation de la rédemption. En cette liturgie céleste, nous serons tous unis à Jésus et entre nous. Nous participerons à l’adoration, à l’amour, à l’action de grâces que lui et tous ses membres font monter vers la sainte Trinité.

(Sources : Dom Marmion – FSSPX.  Actualités - 30/01/2020)

Lire la suite

Coronavirus en Chine : vu par un prêtre, le récit de l’intérieur

10 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Un prêtre chinois, le père Shanren, raconte la première semaine d’épidémie de pneumonie aiguë causée par un coronavirus. Son récit rapporte plusieurs scènes de panique provoquées par l’urgence médicale en Chine. Il y ajoute une considération surnaturelle. 

« L’après-midi du nouvel an chinois - le 24 janvier 2020 - j’ai reçu l’ordre d’annuler la messe pourtant prévue ; à ce moment, on n’était pas au courant du coronavirus de Wuhan. Quand on l’a appris, l’épidémie s’était déjà propagée dans le pays. 

« Le maire de Wuhan a déclaré que 5 millions de personnes avaient déjà quitté la ville. Comme il fallait s’y attendre, la crainte de la contagion est telle que beaucoup de gens ont peur des personnes qui arrivent de Wuhan. 

« A l’heure actuelle, les personnes infectées sont mises en quarantaine. Malheureusement, on peut constater via Internet un grand nombre de réactions agressives, tels ces patients terrifiés qui déchirent les combinaisons de protection et les masques des infirmières, leur hurlant : "pourquoi êtes-vous les seuls à avoir une protection ? Si nous devons mourir, nous mourons ensemble !” ». 

« Ensuite, continue le père Shanren, on peut voir aussi des barrages qui apparaissent ça et là sur les routes (…). Il y a ceux qui placardent des banderoles devant les maisons des malades, d’autres qui utilisent des morceaux de bois pour bloquer l'entrée des voisins. Pour de nombreuses personnes, les patients de Wuhan ne sont plus des êtres humains ; ils sont devenus synonymes de virus ». 

Et le prêtre de se demander si la maladie n’est pas aussi un châtiment divin contre la politique religieuse menée par le Parti communiste chinois : « songez-y bien, écrit-il, il y a un mois, le 24 décembre, il a été demandé aux Chinois de boycotter les fêtes étrangères, de ne plus fêter Noël et de soutenir plutôt les fêtes patriotiques nationales… Las, un mois plus tard, le 24 janvier, la catastrophe de l’épidémie s’est produite : nous avons refusé la paix de Noël que Dieu nous a donnée gratuitement et nous en payons le prix fort ». 

Le prêtre catholique conclut avec gravité : « Nous devons avoir la crainte de Dieu, et prier pour les Chinois. Nous implorons l’infinie miséricorde de Dieu afin que tout soit résolu bientôt et au plus vite ». Une pressante invitation à la conversion. 

(Source : AsiaNews - FSSPX.Actualités - 07/02/2020) 

Lire la suite

Dimanche 9 février : Messe à 10h00

5 Février 2020 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre, le dimanche 9 février.

Dimanche de la Septuagesime  (Violet, 2ème Classe)
Bénédiction des cièrges en l'honneur de Saint Blaise (pour éviter les maux de gaorge) avec distribution au banc de communion. C'est un sacremental.

Apéritif paroissial après la Messe.

 

Lire la suite
1 2 > >>