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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Dimanche 1er octobre : Messe à 10h00

27 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le Dimanche 1er octobre :  18ème dimanche après la Pentecôte. Solennité de Notre Dame du Rosaire.

1er dimanche du mois : Prière des mamans.

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Italie : 120 ans après son élection, saint Pie X retourne dans sa ville natale

24 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces, #articles, #calendrier

A l’occasion du 120e anniversaire de son élection, le corps de saint Pie X retourne à Riese, sa ville natale dans le diocèse de Trévise (Vénétie, Italie), pour être exposé à la vénération des fidèles au sanctuaire de la Bienheureuse Vierge de Cendrole. Ce sanctuaire marial fut très fréquenté par le jeune Giuseppe Sarto, futur Pie X.

 

Le samedi 14 octobre 2023, la Fraternité Saint-Pie X organise, un pèlerinage pour vénérer le corps du saint pape, sous le patronage duquel son fondateur, Mgr Marcel Lefebvre, a voulu placer son œuvre.

La journée débutera par la célébration de la Sainte Messe à 9 heures. Puis, les pèlerins se rendront en voiture à l’église paroissiale de Riese, d’où partira le pèlerinage à pied, sur 3 km environ, jusqu’au sanctuaire de Cendrole.

Lien vidéo de présentation et inscription ci-dessous : : https://www.14ottobre2023.com/

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Dimanche 24 septembre : Messe à 10h00

19 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le Dimanche 24 septembre :  17ème dimanche après la Pentecôte. Solennité de Sainte Thérèse.

Apéritif paroissial après la Messe.

 

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Fête du saint Nom de Marie

17 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

« Maître, où demeurez-vous ? Venez et voyez. » (Jn 1, 38-39)

 

Alors que les premiers disciples – et futurs Apôtres – cherchent à en savoir plus sur ce Jésus que Jean le Baptiste a désigné comme le Messie promis, Jésus se contente de les inviter à venir l’accompagner. Il pourrait bien leur faire un exposé complet sur l’Incarnation puis sur la Rédemption à venir, mais ils ne sont pas prêts : c’est un mystère trop dense et qui dépasse trop les notions d’un pécheur de Galilée – et à vrai dire d’une intelligence créée – pour se prêter à une explication en quelques mots. On ne se prépare pas à saisir quelque chose au plan de Dieu en consultant en vitesse une note de Wikipedia ! Alors Jésus se contente de les inviter à suivre sa Personne. Tout viendra en son temps.

Il en va ainsi de Notre Dame. On ne peut accéder à Jésus sans passer par sa sainte Mère. Mais à elle aussi, son mystère est trop dense, trop surnaturel. Impossible de l’épuiser en quelques mots : les litanies s’y évertuent sans en finir – et sans se lasser. Aussi l’Evangile commence par nous donner en quelque sorte son adresse : « et le nom de la Vierge était Marie » (Lc 1, 27). Avec cela, on sait à qui s’adresser, on sait qui prier. Le dogme, la théologie, suivront : Immaculée Conception, conception virginale de Jésus, virginité intacte jusqu’à son dernier jour terrestre, Assomption et couronnement au Ciel, Médiation universelle de grâces : tout cela, les disciples de Jésus l’apprendront en leur temps. Mais il faut d’abord qu’ils sachent comment accéder à la Mère de Jésus. Elle s’appelle Marie, elle est de Nazareth, elle est la si discrète épouse du charpentier Joseph.

C’est un grand honneur que de connaître ce Nom : on ne donne pas son nom à n’importe qui. Le diable répugne à révéler son nom, car il y perd de son influence lorsqu’il est mis en lumière. Les hommes aussi protègent leurs informations personnelles : on se bat aujourd’hui pour protéger les données personnelles des individus de tout trafic ! Dieu lui-même a voulu mettre beaucoup de solennité dans la révélation de son Nom, Yahvé, et les juifs ont marqué beaucoup de respect à ce mot. Jésus, dans son discours après la Cène, résume sa prédication en disant : « Père, j’ai manifesté ton Nom aux hommes. » (Jn 17, 6) Comme si c'était là le sommet de toute son œuvre. Mais le saint Nom de Marie nous a été donné simplement, non qu’il soit de peu d’importance, mais le bon Dieu voulait qu’on y ait recours facilement.

Ce Nom nous est révélé pour que nous l’invoquions avec confiance. Jusqu’au dernier moment de notre vie, et pour le plus renégat des pécheurs, il est encore possible d’invoquer Marie, « maintenant et à l’heure de notre mort ». Il nous est révélé pour que nous chantions ses louanges (Salve Mater misericordiae… O Maria !). Enfin pour que nous réparions pour les blasphèmes par lesquels il est outragé.

Ne le prononçons pas en vain !

 

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Dimanche 17 septembre : Messe à 10h00

13 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le Dimanche 17 septembre :  16ème dimanche après la Pentecôte.

Samedi 16 septembre : Pas de messe le soir.

 

 

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Triple jubilé de saint Thomas d’Aquin

10 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Du 28 janvier 2023 au 28 janvier 2025, à l’occasion du triple jubilé de saint Thomas d’Aquin, les fidèles catholiques peuvent bénéficier d’une indulgence plénière pour la rémission de la peine des péchés pardonnés. 2023, 2024 et 2025 représentent trois années jubilaires de la naissance (1225), mort (1274) et canonisation (1323) de saint Thomas d’Aquin, dominicain, docteur de l’Eglise appelé le Docteur angélique.

 

Il naquit le 28 janvier 1225 à Roccasecca, dans le royaume de Naples, s’est éteint à l’abbaye cistercienne de Fossanova le 7 mars 1274, et fut canonisé par le pape Jean XXII le 18 juillet 1323. Ainsi, l’année 2023 marque les 700 ans de sa canonisation, 2024 sera le 750e anniversaire de sa mort et 2025 le 8e centenaire de sa naissance.

Aussi, la Pénitencerie apostolique « puisant aux célestes trésors de l’Eglise, concède volontiers l’indulgence plénière, dont les fidèles vraiment pénitents et mus de charité pourront bénéficier aux conditions habituelles : confession sacramentelle, communion eucharistique et prière aux intentions du souverain pontife. L’indulgence plénière pourra être appliquée par mode de suffrage également aux âmes des fidèles encore en purgatoire. »

L’indulgence peut être obtenue en effectuant un pèlerinage dans un lieu saint lié à l’Ordre des Frères prêcheurs, en prenant « dévotement part aux célébrations du jubilé », ou « au moins en consacrant un temps convenable à un pieux recueillement », en concluant par la prière du Notre Père, la récitation du Credo et l’invocation de l’intercession de la Vierge Marie et de saint Thomas d’Aquin.

Toute église, sanctuaire ou chapelle actuellement confiée à l’Ordre dominicain peut répondre aux exigences du pèlerinage. En l’honneur de ce jubilé, la relique du crâne de saint Thomas d’Aquin qui n’a pas été exposée depuis 1369, est destinée à être présentée à la vénération des fidèles en France et à l’étranger.

Conservée sous l’autel du couvent des Jacobins à Toulouse, berceau de l’Ordre dominicain, la relique a été transférée dans un nouveau reliquaire, béni le 27 janvier dernier, pour sa première ostension au couvent des Dominicains de Bordeaux. L’Association pour le centenaire de saint Thomas d’Aquin, qui a la garde du reliquaire en ce temps de jubilé, est chargée d’établir le calendrier des ostensions.

Brève biographie de saint Thomas d’Aquin

Thomas naît au château de Roccasecca, près de Naples, dans la famille d’Aquino, le 28 janvier 1225. A l’âge de cinq ans, il est placé comme oblat par ses parents à l’abbaye bénédictine du Mont-Cassin. A l’âge de dix ans, il fut inscrit à un cours de belles-lettres et de dialectique à Naples ; il prit connaissance de la langue grecque et étudia la physique, la métaphysique et la morale.

Vers août 1243 il entre chez les Dominicains de Naples. Thomas y reçoit l’habit de l’Ordre fondé à Toulouse en 1215 par saint Dominique. Cependant, la famille de Thomas, qui s’oppose à sa vocation dans un ordre mendiant, le retient une année en détention au château de famille de Roccasecca. Il peut retourner au couvent de Naples à l’automne 1244.

Il étudie à Paris de 1245-1246 à 1248, puis il est assistant de saint Albert le Grand à Cologne de 1248 à 1252. Il revient à Paris de 1252 à 1256 pour y enseigner comme bachelier sententiaire. Il commente les Sentences de Pierre Lombard, ouvrage de référence jusqu’au XVIe siècle pour l’étude de la théologie.

Il rédige ensuite son Commentaire des Sentences, avant le Contra Gentiles et la Summa theologiæ. Il est admis à la licentia docendi en février 1256, qui lui donne la faculté d’enseigner comme Maître en théologie. Il est alors Maître-Régent de 1256 à 1259.

Puis, il est désigné par le chapitre général de Valenciennes de 1259 pour enseigner à Naples, de 1259 à 1261. Il est nommé lecteur conventuel, c’est-à-dire chargé de la vie intellectuelle, philosophique et théologique du couvent d’Orvieto de 1261 à 1265. Il y achève le Contra Gentiles commencé en 1257.

Il est nommé Maître-Régent à Rome entre 1265 et 1268. C’est là qu’il entreprend la rédaction de la première partie de la Summa theologiæ, la prima pars, qui traite de Dieu et de son œuvre de création. Il retourne à Paris de 1268 à 1272. Il y écrit la deuxième partie de la Summa, secunda pars, qui concerne la vie morale humaine.

Au printemps 1272, il quitte Paris et revient à Naples, où il est nommé Maître-Régent jusqu’en février 1274. C’est à Naples qu’il écrit la troisième partie de la Summa, tertia pars, qui traite du Christ rédempteur, des sacrements et des fins dernières. Il est alors convoqué comme théologien par le pape Grégoire X au second concile de Lyon, concile d’union avec les Grecs séparés de Rome depuis 1054.

En se rendant au concile de Lyon, il tomba gravement malade à l’abbaye cistercienne de Fossanova. Les religieux l’entourèrent de soins, Thomas en reconnaissance leur expliqua le Cantique des cantiques. Il rendit son âme à Dieu le 7 mars 1274.

Saint Thomas est canonisé le 18 juillet 1323. Il est proclamé Docteur de l’Eglise par le pape saint Pie V, le 15 avril 1567, et Docteur commun de l’Eglise en 1923 par le pape Pie XI.

A la demande du maître général des Dominicains Elie de Raymond, le pape Urbain V contraignit en 1368 les Cisterciens de Fossanova à rendre la tête et le corps de saint Thomas d’Aquin à sa famille religieuse ; ces reliques furent transférées à Toulouse. Son bras droit, offert à Paris, passa ensuite au couvent des Saints-Dominique et Sixte, à Rome.

(Sources : op.org/thomas aquinas jubileum/A. Poirson/DICI n°435 – FSSPX.Actualités)

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Dimanche 10 septembre : Messe à 10h00

6 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le Dimanche 10 septembre :  15ème dimanche après la Pentecôte.

 

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Saint Pie X : une vie centrée sur l'Eucharistie

3 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

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Dimanche 3 septembre : Messe à 10h00

2 Septembre 2023 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le Dimanche 3 septembre :  14ème dimanche après la Pentecôte.

Fête de la Saint Pie X. 1er dimanche du mois, prière des mamans après la messe.

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