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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Dimanche 2 juin 2019 : Messe à 10h00

31 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 2 juin.

Dimanche après l'Ascension  (Blanc, 2ème Classe)

 

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Jeudi 30 Mai 2019 : Messe à 10h00

28 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00  pour le Jeudi de l'Ascension.

Ascension de Notre-Seigneur (Blanc, 1ère Classe)

Fête d'obligation.

 

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Une messe dans Notre-Dame de Paris demandée pour le mois de juin

27 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

L'archidiocèse de Paris demande aux pouvoirs publics la possibilité de célébrer une messe à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame de Paris, en partie ravagée le 15 avril 2019 par un incendie dont l’origine n’a pas encore été établie. Pendant la durée - indéterminée - des travaux, Notre-Dame restera la cathédrale des Parisiens.

C’est au micro de France Bleu Paris, dans la matinale du 15 mai 2019, que le vicaire général du diocèse de Paris a confirmé la demande de l’archevêque, Mgr Michel Aupetit, de pouvoir célébrer une messe dans la cathédrale, actuellement sécurisée et fermée au public. 

« L'idée est de montrer que cette cathédrale est d'abord un lieu cultuel », avant d'être un lieu touristique, explique Mgr Philippe Marsset qui ajoute : « si nous arrivons à pouvoir célébrer cette messe au mois de juin cela montrera la première destination de cette cathédrale ». 

Le recteur de l’emblématique lieu de culte parisien, Mgr Patrick Chauvet, l’a d’ailleurs répété à La Croix le 15 mai 2019 : « il n’est pas question (de) déménager la cathèdre (le siège de l’évêque résidentiel) ; pendant les travaux, Notre-Dame reste la cathédrale ».

Cette demande paraîtra sans doute prématurée au regard de l'état de l'édifice dont la structure a été fragilisée. Quant au sanctuaire, la table de la messe moderne défoncée par les poutres et ensevelie sous les gravats tandis que demeure intact l'autel de la messe de toujours, reste une image plus éloquente qu'un long discours et invite à un sérieux resaississement. Il est temps de rendre à Notre-Dame la liturgie pour laquelle elle a été construite !

(Sources : France Bleu Paris/La Croix - FSSPX.Actualités - 20/05/2019) 

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Dimanche 26 mai 2019 : Messe à 10h00

22 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 26 mai

5ème dimanche après Pâques  (Blanc, 2ème Classe)

Kermesse du Prieuré à Rouen.

 

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A propos d’une lettre ouverte aux évêques de l’Eglise catholique

20 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Le mardi 29 avril 2019, une vingtaine de théologiens et universitaires catholiques a publié une Lettre ouverte aux évêques de l’Eglise catholique, les invitant à intervenir auprès du pape François, pour lui demander de renier les hérésies dont ils l’accusent. Dans le cas où il s’obstinerait, le délit canonique d’hérésie serait alors constitué, et le pape devrait alors en « subir les conséquences canoniques ». Le résumé publié par les auteurs précise ce dernier point : si François refuse obstinément de renier ses hérésies, il est demandé aux évêques de déclarer « qu’il s’est librement dépossédé de la papauté ».

Ce résumé explique également que cette Lettre est la troisième étape d’un processus commencé à l’été 2016. La première consistait en une lettre privée munie de 45 signatures, adressée à tous les cardinaux et patriarches orientaux dénonçant les hérésies ou erreurs graves contenues ou favorisées par l’Exhortation apostolique Amoris Lætitia. La deuxième étape présentait un texte portant le titre de « Correction filiale », signé de 250 intervenants, rendue publique en septembre 2017 et soutenue par une pétition de 14.000 personnes. Elle demandait au pape de prendre position sur les déviations graves entraînées par ses écrits et ses déclarations. Enfin la présente Lettre ouverte affirme que le pape François est coupable du crime d'hérésie et s’efforce de le prouver, car les paroles et les actions du pape François constituent un rejet profond de l’enseignement catholique sur le mariage, la loi morale, la grâce et le pardon des péchés. Déjà plus de 5.000 personnes ont signé la pétition mise en ligne par les auteurs. 

Cette initiative révèle l’irritation et l’exaspération grandissantes de beaucoup de catholiques devant les écrits et les actes de l’actuel Souverain pontife. Et certes, il y a bien de quoi s’inquiéter devant l’enseignement en matière morale du pape François. De plus, l’opinion catholique s’émeut aujourd’hui davantage d’une erreur dans ce domaine, que d’une fausseté portant sur la foi. Mais l’enseignement du pape est tout aussi déviant – si ce n’est davantage – en matière de foi. 

Devant une situation qui paraît inédite – quoique l’histoire de l’Eglise propose malheureusement des périodes singulièrement troublées et assez proches de la nôtre – la tentation de recourir à des mesures extrêmes peut aisément se comprendre. La situation du catholicisme est aujourd’hui si tragique, que l’on peut difficilement condamner les catholiques qui tentent l’impossible pour réagir en interpellant les pasteurs à qui est confié le troupeau. 

Les fruits du Concile 

Cependant, il faut remarquer tout d’abord que le trouble ne date pas d’hier : il a commencé avec la « troisième guerre mondiale » que fut, au dire de Mgr Lefebvre, le concile Vatican II. Celui-ci, à travers ses réformes, a provoqué « l’auto-démolition de l’Eglise » (Paul VI), en semant ruine et désolation dans les domaines de la foi, de la morale, de la discipline, de la vie sacerdotale et religieuse, de la liturgie, du catéchisme, de la vie chrétienne tout entière. Mais peu d’observateurs s’en sont alors vraiment rendu compte. Plus rares encore furent ceux qui s’opposèrent à cette destruction universelle de manière décidée et efficace. 

De fait, ce à quoi nous assistons avec le pape François, n’est que l’éclosion d’un fruit. Le fruit empoisonné d’une plante dont le germe a été élaboré dans les laboratoires théologiques progressistes et modernistes des années cinquante, tel un OGM (organisme génétiquement modifié), une sorte de croisement impossible entre la doctrine catholique et l’esprit libéral. Ce qui apparaît aujourd’hui n’est pas plus mauvais que les nouveautés de Vatican II, mais c’en est désormais une manifestation plus visible et plus aboutie. De même que la réunion d’Assise sous Jean-Paul II, en 1986, n’était que le fruit des germes du dialogue œcuménique et interreligieux déposés au Concile, de même l’actuel pontificat ne fait qu’illustrer avec plus d’éclat ce qui est appliqué et vécu dans l’Eglise conciliaire, c’est-à-dire l’Eglise réformée et évolutive. 

Une démarche radicale vouée à l’échec 

La seconde remarque porte sur le modus operandi. Vu la manière radicale dont les successeurs des apôtres sont interpellés, la question du résultat à attendre d’une telle action se pose forcément. Cette manière de faire est-elle prudente, a-t-elle une chance d’aboutir ? 

Interrogeons-nous sur les destinataires. Qui sont-ils ? Quelle formation ont-ils reçue ? Quelle théologie leur a été enseignée ? Comment ont-ils été choisis ? Vu la manière dont les textes incriminés ont été reçus par les divers épiscopats dans le monde, il est fortement probable, voire certain que les évêques ne réagiront pas dans leur immense majorité. A quelques exceptions près, tous semblent prisonniers de leur formation dévoyée et de la collégialité paralysante si, d’aventure, l’un ou l’autre voulait se distinguer. 

Et s’ils se taisent ? Quelle sera la suite ? Que faudra-t-il faire ? si ce n’est constater l’échec de pareille initiative qui pourrait bien ridiculiser les auteurs et leur cause. Cette Lettre ouverte ressemble à un coup d’épée dans l’eau : une action ne produisant guère d’effet, fruit d’une indignation légitime mais qui verse dans l’excès, au risque de diminuer l’influence des bons. 

De plus, cette démarche présente le danger de produire chez ses auteurs une certaine déviation par rapport au combat à mener. L’on risque de se laisser captiver par le mal présent, en oubliant qu’il a des racines, qu’il est un aboutissement logique d’un processus vicié à l’origine. Par effet de balancier, certains croient pouvoir magnifier le passé récent pour mieux dénoncer le présent, notamment en s’appuyant sur le magistère des papes du Concile – de Paul VI jusqu’à Benoît XVI – pour les opposer à François. C’est la position de nombre de conservateurs, qui oublient que le pape François ne fait que tirer les conséquences des enseignements du Concile et de ses prédécesseurs. On ne déracine pas un arbre mauvais en ne coupant que la dernière branche... 

L’exemple de Mgr Lefebvre 

« Que faire ? », objecteront certains. Sans aucun esprit de chapelle, ni orgueil mal placé, il est un exemple à suivre, celui de l’Athanase des temps modernes, Mgr Marcel Lefebvre. Il a certes parlé, fermement, contre les orientations prises par les papes modernes. Mais dans son combat pour la foi, il a évité de tomber dans les excès et n’a jamais prétendu vouloir régler tous les problèmes que pose à la conscience catholique la crise que traverse l’Eglise depuis plus d’un demi-siècle. Jamais il ne s’est départi du respect dû à l’autorité légitime, qu’il savait reprendre fortement sans se permettre de la juger comme s’il lui était supérieur, laissant à l’Eglise du futur le soin de résoudre une question actuellement insoluble. 

Mgr Lefebvre s’est battu sur le front doctrinal, au Concile d’abord, puis par ses nombreux écrits et conférences pour combattre l’hydre libérale et moderniste. 

Il s’est battu sur le front de la tradition, tant liturgique que disciplinaire, pour conserver à l’Eglise son antique et auguste Sacrifice, en assurant la formation de prêtres destinés à perpétuer cette action essentielle pour la continuité de l’Eglise. 

Il s’est battu sur le front romain, en interpelant les autorités ecclésiastiques sur les dérives de la barque de Pierre, sans jamais se lasser ni se raidir, toujours à la lumière d’une prudence merveilleuse puisée dans la prière et affermie par les exemples et l’enseignement de vingt siècles de papauté. 

Les résultats ont prouvé que telle était la bonne manière, le bon chemin, ainsi que saint Paul l’a indiqué : « prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, menace, exhorte, avec une patience inlassable et le souci d’instruire » (2 Tim. 4, 2). Que la Vierge, notre Reine, forte comme une armée rangée en bataille, nous donne de « travailler jusqu’à notre dernier souffle à la restauration de toutes choses dans le Christ, à l’accroissement de son Règne et au glorieux triomphe de [son] Cœur douloureux et Immaculé » (consécration de la Fraternité Saint-Pie X).

(Source : FSSPX/MG - FSSPX.Actualités - 17/05/2019) 

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Dimanche 19 mai 2019 : Messe à 10h00

15 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 19 mai

4ème dimanche après Pâques  (Blanc, 2ème Classe)

Procession en l'honneur de Marie.

Apéritif paroissial et repas tiré du sac après la Messe.

 

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Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019

13 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles, #annonces

Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019
Bulletin de la croisade eucharistique - mai 2019

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Dimanche 12 mai 2019 : Messe à 10h00

8 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 12 mai

3ème dimanche après Pâques  (Blanc, 2ème Classe)

Solennité de Sainte Jeanne d'Arc.

 

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De Chartres à Paris, un pèlerinage pour servir la Chrétienté

6 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces, #articles

L’association Pèlerinages de Tradition organise chaque année depuis 30 ans un pèlerinage de 3 jours, durant le week-end de la Pentecôte, au départ de la cathédrale Notre-Dame de Chartres pour se rendre à Paris au chevet de la cathédrale Saint-Louis des Invalides.

A l’occasion du 500e anniversaire des apparitions de Notre-Dame de Grâces à Cotignac, Pèlerinages de Tradition vous invite les 8, 9 et 10 juin 2019, à méditer entre Chartres et Paris sur le thème « Servir la chrétienté ».

En août 1519, Notre Dame apparaît par deux fois au jeune bûcheron, Jean de la Baume, à Cotignac (Provence). Elle est accompagnée de saint Michel archange, sainte Catherine et saint Bernard de Clairvaux.

Alors que la chrétienté commençait d’être ébranlée par la révolte de Martin Luther (1483-1540), la Sainte Vierge s’adresse au jeune homme en ces termes : « Je suis la Vierge Marie. Allez dire au clergé et aux consuls de Cotignac de me bâtir ici même une église, sous le vocable de Notre-Dame de Grâces, et qu’on y vienne en procession pour recevoir les grâces que je veux y répandre. »

Dans cette apparition, la présence de Jésus Enfant, siégeant comme sur un trône dans les bras de la Sainte Vierge, nous rappelle que Marie est Mère de Dieu.
L’ordre qu’elle fait transmettre au clergé ne permet pas d’en douter : Marie est Mère de l’Église.

Le même ordre s’adresse également aux consuls : Marie est Reine de France.

La promesse de grâces nous comble de certitude et d’allégresse : Marie est Médiatrice et Dispensatrice des Dons célestes.

« Dans la poussière et la pénitence, il est absolument nécessaire de se donner à Marie pour qu’elle fasse de nous des enfants de Dieu et qu’ainsi la France garde son beau titre de Fille aînée de l’Église. La Reine du Ciel nous a désignés ses auxiliaires privilégiés pour entretenir ce dessein.

Saint Michel, sainte Catherine et saint Bernard sont les guides de notre restauration dans le Christ » nous rappelle l’abbé Benoît de Jorna, supérieur du district de France, dans la préface du dossier spirituel, édité spécialement pour l’occasion.

Durant ce pèlerinage, une centaine de kilomètres est parcourue, répartie de manière dégressive sur les 3 jours.

La marche est rythmée par la prière, la méditation, des temps de silence et de détente dans une ambiance conviviale.

Chaque journée comprend une messe, des temps de prières et de chants communs, des méditations encadrées soit par des aumôniers, soit par des responsables laïcs.
Des zones de camping communes (bivouacs) sont prévues tous les soirs dans des espaces aménagés à cet effet par les bénévoles, avec des points d’eau, des W.C., des postes de secours.

Ceux qui seraient empêchés de marcher peuvent rejoindre les bénévoles des équipes logistiques en se rendant sur cette page. Et ceux qui ne peuvent pas venir au pèlerinage peuvent rejoindre le groupe des membres priants, qui vient d’être constitué cette année.

Mis à part pour les membres priants dont l’inscription se fait à l’aide d’un formulaire papier téléchargeable ici, les inscriptions se font en ligne à l’adresse suivante : https://inscription.pelerinagesdetradition.com

Ce pèlerinage nécessite d’importants moyens mis en œuvre bien en amont, c’est pourquoi nous vous remercions d’avance de vous inscrire le plus tôt possible, pour que nous puissions prévoir tous les besoins logistiques. Une réduction est accordée pour toute inscription jusqu’au 10 mai 2019 inclus.

Pèlerinages de Tradition 
20 rue Gerbert
F-75015 Paris
Tél. 01 55 43 15 60
Courriel : pele.trad@wanadoo.fr
www.pelerinagesdetradition.com

(Source : Pèlerinages de Tradition - FSSPX.Actualités - 30/04/2019)

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Dimanche 5 mai 2019 : Messe à 10h00

4 Mai 2019 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 5 mai

Dimanche du Bon Pasteur.

2ème dimanche après Pâques  (Blanc, 2ème Classe)

 

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