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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Calendrier liturgique de janvier 2022

31 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #calendrier

Calendrier liturgique de janvier 2022

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Dimanche 2 janvier : Messe à 10h00

28 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 2 janvier 2022.

Fête du Très Saint Nom de Jésus

(Blanc - 2nde classe)

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Dimanche 26 décembre : Messe à 10h00

25 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 26 décembre.

Dimanche dans l'octave de Noël,

mémoire de Saint Etienne (Blanc - 2nde classe)

 

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Messes de Noël les 24 et 25 décembre

21 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe, #annonces, #calendrier

Vendredi 24 décembre : Veillée de Noël à 23h30

Messe à minuit (Violet - 1ère classe)

Samedi 25 décembre : Messe à 10h00 (Blanc - 1ère classe),

Nativité de Notre Seigneur Jésus-Christ. (Fête d'obligation)

Dimanche 26 décembre : Messe à 10h00 (Blanc - 2nde classe)

Dimanche dans l'octave de Noël, mémoire de Saint Etienne.

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Faut-il attribuer à la Mère de Dieu toutes les perfections ?

19 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

De Maria nunquam satis, « de la Vierge Marie il n’est jamais dit assez ». De nombreux Pères et théologiens attribuent à Marie des perfections uniques, y compris des perfections dont l’Ecriture ne fait pas mention.

 

Certains objectent que l’on risque ainsi d’aboutir à des excès qui rendront ridicule, voire hérétique, la théologie mariale. Ils ajoutent qu’il faut s’en tenir strictement à ce qui est explicitement révélé.

C’est encore Pie IX, dans la bulle Ineffabilis Deus qui va nous éclairer sur cette question : « Dieu destina donc, dès le commencement et avant tous les siècles, à son Fils unique, la Mère de laquelle, s’étant incarné, il naîtrait, dans la bienheureuse plénitude des temps.

« Il la choisit, il lui marqua sa place dans l’ordre de ses desseins ; il l’aima par dessus toutes les créatures, d’un tel amour de prédilection, qu’il mit en elle, d’une manière singulière, toutes ses plus grandes complaisances.

« C’est pourquoi, puisant dans les trésors de sa divinité, il la combla, bien plus que tous les esprits angéliques, bien plus que tous les saints, de l’abondance de toutes les grâces célestes, et l’enrichit avec une profusion merveilleuse, afin qu’elle fût toujours sans aucune tache, entièrement exempte de l’esclavage du péché, toute belle, toute parfaite et dans une telle plénitude d’innocence et de sainteté qu’on ne peut, au-dessous de Dieu, en concevoir une plus grande, et que nulle autre pensée que celle de Dieu même ne peut en mesurer la grandeur. Et certes il convenait bien qu’il en fût ainsi… ».

Marie a été doté de privilèges insignes

Les théologiens indiquent deux raisons qui justifient l’attribution des plus grands privilèges à la Mère de Dieu :

Et tout d’abord, la Vierge a été élue pour la mission la plus haute confiée à une personne humaine. Or « ceux que Dieu a choisis pour une tâche, il les prépare et les dispose pour qu’ils soient reconnus capables de cette tâche », dit saint Thomas d’Aquin (Somme théologique III, 27, 4).

Le Docteur angélique ajoute ailleurs que Notre Dame est la plus proche de Jésus-Christ, source de grâce. Or « plus l’être qui reçoit est proche de la cause qui l’influence, plus il participe de celle-ci », dit encore le Docteur angélique (III, 7, 1, et 27, 5).

Il convient donc d’attribuer à la Vierge des privilèges, même uniques, mais il faut toutefois le faire avec discernement :

– Cela ne doit pas être contraire à la foi, à la doctrine de l’Eglise ou à la raison.

– Cela doit convenir à la Vierge, soit en raison de ce qu’elle est, soit en raison de son Fils.

– Il faut un fondement positif dans la Révélation.

De plus, il faut exclure les perfections qui relèvent de la nature angélique (la science infuse per se), qui sont réservées au sexe masculin (le sacerdoce), qui empêcheraient la compassion (la gloire du corps, ou l’impassibilité), enfin qui supposeraient une imperfection exclue par la foi (la vertu de pénitence).

Il faut aussi s’abstenir d’affirmer ce qui, sans inconvenance, est pourtant absolument gratuit : on ne présume pas les miracles.

Ce qui convient positivement est plus délicat : il faut avoir un fondement dans ce qui est connu, ce que l’on sait de l’économie habituelle de la grâce, et montrer que l’idée est traditionnelle.

Ceci posé, il est certain que la proximité de Notre Dame avec le Verbe Incarné lui confère des privilèges exceptionnels, qui dépassent ce que comporte la sainteté commune.

PROVENANCE: FSSPX.NEWS - DECEMBRE 2021

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Dimanche 19 décembre : Messe à 10h00

15 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre le dimanche 19 décembre 2021.
4ème dimanche de l'Avent (Violet, 1ère classe)
 
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La croissance en la grâce de la Mère de Dieu

12 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Il est écrit dans l’évangile de saint Luc, que Jésus « croissait en sagesse, en taille et en grâce devant Dieu et devant les hommes » (Lc 2, 52). Mais les Pères et les théologiens font remarquer que cette croissance, quant à la sagesse et à la grâce, n’était qu’apparente.

 

En effet, dès le premier instant de son existence, le Christ possède une grâce et une sagesse parfaites, qui ne peuvent grandir. Cette « croissance » signifie que le Verbe incarné manifestait ces dons selon ce qui correspondait à son âge.

Le Christ possédait la grâce dans sa plénitude, tout entière, autant qu’il est possible à une nature humaine de la posséder, une grâce maximale. Une autre raison implique cette impossibilité de croître dans la grâce : le fait que l’humanité du Christ possédait la vision de Dieu.

Qu’en est-il de la Vierge Marie ?

 

Puisque la plénitude absolue de grâce est propre au Christ, comme il a été dit dans le mot de la semaine dernière, la grâce de Marie pouvait augmenter. Cette grâce a pu augmenter en Notre Dame jusqu’à son entrée au Ciel.

Mais ce qu’il faut considérer, c’est la perfection de cette augmentation de la grâce dans l’âme de Marie. Comme le note le P. Réginald Garrigou-Lagrange, saint Thomas a formulé le principe de cette merveilleuse croissance dans son Commentaire sur l’Epître aux Hébreux.

« Quelqu’un pourrait demander : “Pourquoi devons-nous progresser toujours davantage dans la foi et dans l’amour ?” C’est que le mouvement naturel devient d’autant plus rapide qu’il se rapproche de son terme [de la fin qui attire]. » Le P. Garrigou-Lagrange commente ce texte par la chute des corps qui est « uniformément accélérée », selon la loi de la gravitation universelle.

« Or, continue saint Thomas, la grâce perfectionne et incline au bien à la manière de la nature [comme une seconde nature] ; il s’ensuit donc que ceux qui sont en état de grâce doivent d’autant plus grandir dans la charité qu’ils se rapprochent de leur fin dernière [et qu’ils sont plus attirés par elle]. »

Le saint docteur affirme donc que, pour les saints, l’intensité de leur vie spirituelle s’accentue de plus en plus selon qu’ils se rapprochent de Dieu et qu’ils sont plus attirés par Lui. Telle est, dans l’ordre spirituel, la loi de l’attraction universelle. Comme les corps s’attirent, d’autant plus qu’ils se rapprochent, ainsi les âmes justes sont attirées par Dieu d’autant plus qu’elles se rapprochent de Lui.

Ce progrès toujours plus rapide exista surtout dans la vie de la Très Sainte Vierge, sur la terre, car, en elle, il ne rencontrait aucun obstacle, aucun arrêt ou ralentissement, aucun attardement aux choses terrestres ou à elle-même.

Et ce progrès spirituel en Marie était d’autant plus intense que la vitesse initiale ou la grâce première avait été plus grande. Il y eut ainsi en Marie une accélération merveilleuse de l’amour de Dieu, accélération dont celle de la gravitation des corps est une image lointaine.

Il faut donc affirmer que la grâce de la Mère de Dieu a augmenté d’une manière sublime au cours de sa vie, jusqu’à l’Assomption. Il est impossible d’imaginer une croissance en grâce plus parfaite. C’est pourquoi elle est le modèle de cette croissance, comme elle l’est pour la foi et l’espérance.

Quel fut le degré atteint par la Vierge Marie au moment où elle rejoignit son Fils au Ciel ? Il est sûr que la gloire de Marie au Ciel dépasse celle de tous les saints réunis.

Les mérites de Marie étaient donc toujours plus parfaits ; son cœur très pur se dilatait pour ainsi dire de plus en plus, et sa capacité divine s’agrandissait selon la parole du Ps. CXVIII, 32 : « J’ai couru dans la voie de vos commandements, Seigneur, lorsque vous avez dilaté mon cœur. »

PROVENANCE: FSSPX.NEWS

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Dimanche 12 décembre : Messe à 10h00

9 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 au Havre le dimanche 12 décembre 2021.
3ème dimanche de l'Avent (Violet, 1ère classe)
Action de Grâces après la Messe.
Apéritif paroissial.
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Les vertus et les dons surnaturels de la Mère de Dieu

7 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles, #catéchisme

Léon XIII, dans son encyclique Magnæ Dei Matris, affirme de la Très Sainte Vierge : « Voici donc que, dans sa bonté, Dieu nous a donné dans Marie le modèle de toutes les vertus le plus à notre portée. »

 

Pour comprendre à quel degré les vertus surnaturelles avaient été données par Dieu à celle qui devait devenir la mère de son Fils, et combien elles imprégnaient son âme immaculée, il convient de considérer ce que saint Thomas d’Aquin dit des vertus du Verbe incarné.

Le Docteur angélique explique que les vertus surnaturelles sont « comme des dérivations de la grâce ». Elles découlent en effet de ce principe initial, de ce don merveilleux donné par Dieu, comme un effet dérive de sa cause.

« Or, ajoute l’Ange de l’Ecole, plus un principe a de perfection, plus cette perfection rejaillit sur ses effets. » Cela n’est pas difficile à comprendre : plus une cause a de la puissance – par exemple, plus un feu est élevé en température – plus elle peut diffuser son effet. Pour le feu, plus il est capable de chauffer ou de brûler.

Le saint Docteur continue : « La grâce du Christ étant très parfaite, les vertus qui en procèdent devaient donc parfaire également toutes les puissances de son âme, et leurs actes. D’où il suit que le Christ a possédé toutes les vertus » (III, 7, 2).

La Vierge Marie est l’image de son Fils

Le raisonnement de saint Thomas peut être appliqué à Notre Dame. Il convient de noter, qu’il s’applique tant aux vertus infuses qu’aux dons du Saint Esprit, qui sont présents dans une âme selon la mesure de sa charité. La théologie dira qu’ils sont « connexes » avec les vertus infuses.

Il faut rappeler ici que l’excellence particulière de la grâce de la Sainte Vierge provient de sa dignité de Mère de Dieu, à laquelle la grâce habituelle de Marie est « proportionnée » ou mesurée.

Notre-Dame a possédé toutes les vertus infuses et les dons du Saint-Esprit. Il faut noter spécialement :

La Foi : « Bienheureuse celle qui a cru ». Notre Dame a eu la foi. Elle a même possédé cette vertu au plus haut degré, dans l’histoire du salut, car son divin Fils ne la possédait pas. En effet, il avait la vision de Dieu dès le premier instant de sa conception, vision qui exclut la foi. Elle est donc notre modèle pour cette vertu.

L’Espérance. Elle suit la foi. Comme pour cette dernière, c’est elle qui a possédé la plus haute espérance, car son Fils ne l’avait pas plus que la foi : il possédait déjà la vision béatifique.

La Charité : la Vierge possède la charité la plus grande après celle du Christ.

La Tempérance : Notre Dame n’a pas eu le foyer du péché. En conséquence, la vertu parfaite régnait en elle, les passions étaient soumises à sa raison. On ne peut, dès lors, parler de continence, puisque ce mot désigne l’habitus de volonté qui contient des passions non encore soumises.

La Pénitence : cette vertu concerne les péchés personnels, or il n’y en eut pas en Marie. Puisque cette vertu n’était pas non plus dans le Christ, c’est un autre saint qui a possédé la plus haute pénitence.

Les dons du Saint-Esprit régnaient dans l’âme sainte et immaculée de la Mère de Dieu. Le plus haut de ces dons, la Sagesse, y brillait particulièrement. Le fiat est la parole la plus sage qui soit jamais sortie de la bouche d’une créature : « Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon votre parole ».

Les charismes ou dons gratuits destinés à l’édification du Corps mystique. Comme pour le Christ, celui qui doit communiquer toute grâce doit posséder toute grâce. Notre Dame a reçu les charismes, spécialement de sagesse – dans sa contemplation et en éclairant les Apôtres après l’Ascension –, et de prophétie, illustré par le Magnificat : « Toutes les générations me diront bienheureuse. »

Que la contemplation des vertus de Marie nous obtienne de les imiter, spécialement sa foi et sa charité, qui nous guideront au milieu de l’apostasie et du refroidissement d’un grand nombre.

PROVENANCE: FSSPX.NEWS

 

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Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021

5 Décembre 2021 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #annonces, #articles, #calendrier

Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021
Bulletin de la croisade eucharistique du mois de décembre 2021
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