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Chapelle Saint-Grégoire-le-Grand

Calendrier Liturgique du mois de janvier 2023

31 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #calendrier

Calendrier Liturgique du mois de janvier 2023

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Dimanche 1er janvier 2023 : Messe à 10h00

28 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 1er janvier 2023

Octave de la Nativité  (Blanc - 1ère classe)

Introït : Is. 9,6.  -  Epître du bienheureux apôtre Paul à Tite (Tt 2.11-15)  -  Suite du saint Evangile selon saint Luc (Lc 2.11)

 

 

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Se consacrer à Marie !

26 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Présentation du nouveu livre de M. l'abbé Guy Castelain pour se consacrer à Jésus par Marie en 33 jours, avec Louis-Marie Grignion de Montfort. (lien en bas de page)

Les Éditions Clovis viennent de publier un nouveau livre, intitulé Se consacrer à Marie, 33 jours avec saint Louis-Marie Grignion de Montfort, pour se préparer à la Consécration de soi-même à Jésus-Christ, la Sagesse incarnée par les mains de Marie.

Jusqu’à ce jour, pour se préparer à la consécration mariale montfortaine, les vrais dévots de Marie avaient quelques ouvrages à leur disposition. Les plus connus sont, d’abord, le livre du Père Denis : Le Règne de Jésus par Marie ; ensuite, celui du Père Texier, Préparation à la consécration à la très sainte Vierge ; enfin, celui du Père Dayet : Les Exercices préparatoires à la consécration. Ces trois auteurs étaient d’excellents et fervents montfortains. Leur doctrine était impeccable. 

Pour comprendre le bien-fondé de cette nouvelle parution, il faut faire remarquer que ces très bons livres avaient les défauts de leurs qualités. Sans s’en rendre compte, leurs auteurs avaient surchargé la préparation, surcharges devant lesquelles beaucoup se sont découragés. En bref : on ne se limitait pas à ce que Montfort demandait et on ajoutait des prières (Litanies du Sacré-Cœur dont Montfort ne parle pas) ; on suggérait toutes sortes de lectures (Imitation de Jésus-Christ et Quatre Évangiles) qui, bien que facultatives, passaient pour obligatoires chez les âmes délicates ; on restait assez loin des textes du Père de Montfort tout en restituant les idées principales. Certains thèmes montfortains, mis en valeur depuis – car ces livres commencent à dater – étaient complètement absents de ces ouvrages.

Ces dernières années, plusieurs livres ont été publiés : ils font constamment référence au concile Vatican II. De ce fait, leur perspective est complètement faussée. Nous en prenons pour preuve cette affirmation de Jean-Paul II dans sa Lettre aux familles montfortaines sur la doctrine mariale de leur saint fondateur, parue dans L’Osservatore Romano n° 3 du 20 janvier 2004 : « C’est à la lumière du Concile que doit aujourd’hui être relue et interprétée la doctrine montfortaine » (pp. 2 et 3). Mais cette réinterprétation est vouée à l’échec, car Montfort est trop traditionnel. Ce qui lui vaudra le refus du titre de Docteur de l’Église, s’entend : de l’église conciliaire (cf. Lettre du 2 août 2001). Les bénédictins de Ramsgate, dans leur Dictionnaire hagiographique, dix mille saints, très lucides, à l’article Louis-Marie Grignion de Montfort, n’hésitent pas à affirmer que ses « considérations sur la Sainte Vierge ne sont cependant guère compatibles avec l’enseignement du deuxième concile du Vatican » (Brépols, 1991, p. 316). En un mot, Montfort, tel qu’il fût en réalité, est incompatible avec Vatican II ! Mais le plus grand des péchés de ces publications récentes est d’avoir éliminé ce qui fait la spécificité de la parfaite dévotion, le saint Esclavage, comme étant contraire à la dignité humaine conciliaire. Cette évacuation, aucun auteur d’avant le Concile ne pouvait l’admettre. Enfin, un ouvrage, dont nous avons déjà parlé, intitulé 9 mois pour renaître, Chemin de consécration à Dieu par Marie pour entrer dans une vie nouvelle (bulletin n° 142, p. 4), déforme même complètement la préparation à la consécration mariale montfortaine.

Il était donc nécessaire de renouveler le sujet. Se consacrer à Marie répond à ce besoin. L’opuscule reprend exactement ce que Montfort a prescrit pour se préparer à sa consécration. Après une introduction présentant la vocation mariale de saint Louis-Marie, l’auteur explique de quoi il s’agit et résout une question controversée qui n’avait pas encore été explicitement résolue, à savoir celle de la durée de la préparation. Chacun des jours rappelle les exercices de piété prévus par le Père Grignion et propose une courte méditation sur un sujet typiquement montfortain, à partir des textes divers et variés du Père Grignion. Quelques sujets, peu mis en lumière par les anciens auteurs, sont complètement neufs. L’auteur répond aussi à certaines objections actuelles en se basant sur la Tradition.

Voici donc le manuel officiel de la Confrérie Marie Reine des Cœurs pour la préparation à la consécration.

Se consacrer à Marie !
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Messes de Noël : samedi 24 & dimanche 25 décembre 2022

20 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe, #annonces, #calendrier

Samedi 24 décembre : Messe à 24h00

Veillée à 23h00 - Vigile de Noël à minuit

Dimanche 25 décembre : Messe de Noël à 10h00

Nativité de Notre Seigneur (Blanc - 1ère classe)

Confessions avant la Messe.

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ND de Guadalupe : cap sur le 500e anniversaire des apparitions

18 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

La Vierge de Guadalupe peut avoir le sourire : alors que des millions de pèlerins convergent vers Tepeyac depuis plusieurs jours pour fêter la patronne du Mexique, le coup d’envoi d’une neuvaine d’années en préparation du jubilé des apparitions prévu pour décembre 2031, a été lancé le 7 décembre 2022 par le président de la conférence épiscopale.

 

La « Neuvaine intercontinentale » a débuté le 12 novembre 2022, en la messe dite « des roses », célébrée à midi dans la basilique de Notre-Dame de Guadalupe. Le même jour, au Vatican, le souverain pontife, souhaitant associer toute l’Eglise à cet événement, a célébré la messe en l’honneur de la patronne des Amérindiens.

En annonçant le lancement de la neuvaine, le cardinal Carlos Aguiar Retes, archevêque de Mexico et primat du Mexique, a insisté sur la nécessité de « diffuser massivement » la dévotion à la Vierge de Guadalupe : « la violence dans notre pays, (…) les guerres dans le monde sont autant de raisons pour se confier entre les mains de Notre-Dame de Guadalupe », a déclaré le haut prélat.

Une chose est certaine : le moral des Mexicains est au beau fixe en ce 12 décembre 2022, jour de fête où les restrictions sanitaires, conséquences de la Covid-19, ont été levées : le 491e anniversaire des apparitions peut être célébré en « présentiel » selon le terme désormais consacré.

La basilique a en effet été complètement ouverte aux pèlerins auxquels on demande seulement de porter un masque. En raison du flux des fidèles – plus de quatre millions étaient attendus cette année le 12 décembre, contre 280 000 à Lourdes pour la saison 2022 – des messes sont célébrées toutes les heures depuis le dimanche 11 décembre.

La cause de cette dévotion dont le nombre de pèlerins donne le tournis, remonte au 9 décembre 1531, sur un relief nommé Tepeyac, un peu au nord de l’actuelle Mexico. Une jeune femme, métisse, portant un vêtement brillant comme le soleil, apparaît à l’indigène Juan Diego, tout juste baptisé.

Se présentant comme la Vierge Marie, l’apparition le charge de demander à l’évêque de Mexico de faire construire une église en ce lieu. Mgr Zumarraga se montre très sceptique et demande un signe permettant d’attester le caractère surnaturel de l’événement que lui rapporte Juan Diego.

Le 12 décembre suivant – date retenue par l’Eglise pour fêter Notre-Dame de Guadalupe – la Vierge se montre pour la dernière fois à Juan Diego. Elle l’envoie cueillir des fleurs au sommet aride et gelé du Tepeyac. Il y remplit sa tilma, tunique confectionnée à partir de fibres végétales, des plus belles fleurs qu’il ait jamais vues.

De retour chez l’évêque pour les lui offrir, Juan Diego ouvre sa tilma. Sur l’étoffe apparaît progressivement, aux yeux de l’évêque et de toute l’assistance, une extraordinaire image de la Vierge. Le miracle est incontestable.

Le 26 décembre 1531, un autre phénomène se produit : lors de la procession qui conduit l’image à la nouvelle chapelle du Tepeyac, un Indien est accidentellement tué par une flèche. Déposé au pied de la tilma, il ressuscite.

A l’inverse d’une Pachamama nue, le visage tourné vers le sol, symbole d’un monde matériel privé de toute référence au Ciel, la Vierge de Guadalupe, gracieusement parée de vêtements colorés, enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, se présente comme la Mère de l’unique Rédempteur, venue jusqu’aux Indiens afin de leur apporter la grâce du salut, et l’abondance des biens surnaturels.

(Sources : Aciprensa/Informador – FSSPX.Actualités)

 

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Dimanche 18 décembre : Messe à 10h00

16 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 18 décembre.

4ème dimanche de l'Avent (Violet - 1ère classe)

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Samedi 17 décembre : Messe à 18h.

12 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe, #annonces, #calendrier

Samedi 17 décembre : 3ème samedi du mois.

17h30 : Confessions + chapelet

18h00 : Sainte Messe.

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Dimanche 18 décembre : Messe à 10h00

4ème dimanche de l'Avent (Violet - 1ère classe)

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Médaille miraculeuse : une leçon inattendue

11 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

Le Temps de l’Avent est placé sous les auspices de la Vierge Marie : fête de la Médaille miraculeuse le 27 novembre – qui coïncide, en 2022, avec le premier dimanche de l’Avent – et surtout solennité de l’Immaculée Conception le 8 décembre suivant. Mais savez-vous où et quand a été érigée la première église dédiée à la Médaille miraculeuse ? La réponse n’est pas sans surprises…

 

Le 8 décembre 1854, par la bulle Ineffabilis Deus, le pape Pie IX proclame solennellement le dogme de l’Immaculée Conception, définissant que « la Bienheureuse Vierge Marie, dès le premier instant de sa Conception, a été, par une grâce et un privilège spécial du Dieu Tout-Puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée et exempte de toute tâche du péché originel ».

Le pontife romain, dans le même document, semble faire allusion à la révélation de la Médaille miraculeuse faite par Notre-Dame à sainte Catherine Labouré le 27 novembre 1830, assurant que Marie est déjà « apparue dans le monde, avec son Immaculée Conception, comme une splendide aurore qui répand ses rayons de toute part ».

Ce que l’on sait moins, c’est que la première église dédiée à la Médaille miraculeuse a été érigée à des milliers de kilomètres du lieu de l’apparition d’origine qui, rappelons-le, est dédié depuis sa consécration, en 1815, au Sacré-Cœur de Jésus.

C’est en effet dans l’archidiocèse de Pousso Allegre, dans l’Etat de Minas Gerais (Brésil) que l’église édifiée à Monte Siao, a été solennellement dédiée à la Médaille miraculeuse, le 13 avril 1850.

En 1830, à l’époque de l’apparition, 105 familles catholiques vivent à Monte Siao, une contrée hostile où il n’y a encore ni prêtre, ni lieu de culte. Fait important à noter : plusieurs récits prouvent que, dès 1838, la dévotion à la Médaille miraculeuse était arrivée jusque-là, et rythmait la vie de prière des fidèles délaissés.

La première image représentant la Vierge de la Rue du Bac arrive dans la nouvelle église, dix ans après sa dédicace, en 1860 : elle sera brutalement retirée en 1937 par l’ordinaire du lieu qui la trouvait trop « sensuelle », à son goût. Notre-Dame ne devait pas tarder à lui donner une bonne leçon…

Car à partir du moment où l’image quitte son église, la météo se dérègle au-dessus de Monte Siao : la pluie s’arrête de tomber, alors qu’elle continue de le faire quelques kilomètres plus loin.

Une situation critique qui persiste durant deux longues années : les fidèles – éclairés à cette époque – saisissent que le réchauffement climatique soudain, est moins dû aux émissions de carbone qu’à une raison surnaturelle…

Sous la pression populaire l’archevêque accepte de revenir sur sa décision : au moment même où la statue fait son retour dans son sanctuaire, la pluie se mit à tomber, battante, sur Monte Siao, et la situation revient subitement à la normale.

Cet épisode est resté dans les mémoires comme « le jour du miracle », il est fêté dans le calendrier propre diocésain tous les 27 novembre, jour où, en France, on fête la Médaille miraculeuse.

En raison du flux incessant de pèlerins, l’église de la Médaille-Miraculeuse a été érigée en sanctuaire le 5 novembre 1999 par les autorités diocésaines qui ont bien compris la leçon de Marie : elle nous exhorte à la mettre – elle et son divin Fils – au cœur de l’Eglise et de nos vies.

(Source : Catholic News Agency – FSSPX.Actualités)

 

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Dimanche 11 décembre : Messe à 10h00

7 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #Messe

Messe à 10h00 le dimanche 11 décembre.

3ème dimanche de l'Avent (Rose - 1ère classe)

apéritif paroissial après la Messe.

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Les trois avènements de Jésus-Christ

5 Décembre 2022 , Rédigé par Chapelle Saint Grégoire-le-Grand Publié dans #articles

L’Avent, c’est le temps liturgique dans lequel l’Eglise nous prépare à Noël. Pendant quatre semaines, elle nous invite à partager la mentalité des patriarches et prophètes d’Israël qui aspiraient à la venue du Messie dans son double avènement de miséricorde et de gloire. Il en est un troisième : celui de Jésus-Christ par sa grâce dans nos âmes.

Le Christ est venu, il reviendra

Les prophètes ont annoncé dans l’Ancien Testament la venue du Christ. Mais leurs paroles correspondent à deux événements historiquement distincts. D’une part il s’agit de l’avènement de miséricorde, l’humble condition de l’existence humaine du Fils de Dieu fait homme pour nous racheter ; d’autre part l’avènement de justice quand Jésus-Christ, plein de gloire et de majesté, apparaîtra, à la fin du monde, pour juger les vivants et les morts. L’Eglise dans les textes liturgiques de l’Avent, parle tour à tour de l’un et de l’autre, parfois sans transition comme l’ont fait les prophètes.

La justice suit la miséricorde

La sentence que Jésus-Christ portera alors, lorsqu’il reviendra en ce monde, dépendra de l'accueil qui lui aura été réservé lorsqu’il est venu la première fois. Ce jugement divin est une séparation entre les bons et les méchants.

Tous ceux qui auront renié le Christ sur terre, il les éloignera de lui et les séparera à tout jamais de ceux qui lui sont fidèles, tandis qu’il rassemblera autour de lui ceux qui l’auront suivi, pour en faire les enfants de Dieu.

Il nous faut accueillir sa venue

Entre ces deux événements historiques, il est un troisième avènement du Christ : c’est celui de son avènement de grâce dans nos âmes. L’acceptation de sa venue avec toutes ses conséquences (Rédemption, Révélation, Eglise, sacrements) produit dans nos âmes une vie nouvelle de grâce. Et c’est de cette acceptation que dépendra la sentence qu’il prononcera à son dernier avènement. Tous ceux qui l’auront accueilli par leur foi et leur amour, il les fera entrer à sa suite dans le royaume de son Père.

Entrer dans l’Avent

Ce triple avènement n’a-t-il pas le même but ? En effet, le Fils de Dieu s’est abaissé jusqu'à nous en se faisant homme pour nous offrir les trésors de sa grâce afin de nous faire remonter jusqu’à son Père en nous introduisant dans son royaume céleste.

Durant l’Avent, l’Eglise nous invite à adopter les désirs et la confiance des patriarches et des prophètes.

A l’aproche de Noël, anniversaire de l’Incarnation, elle veut que nous aspirions à la venue de Jésus dans nos âmes par la grâce et par là-même à être du nombre de ses élus lors de son retour comme souverain Juge à la fin des temps.

(Source : District de Belgique - FSSPX.Actualités)

 

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